dimanche 16 décembre 2012

LES ANNÉES SAKU KOIVU OU LE DÉBUT DE LA DÉCADENCE DU CACANADIEN DE MOURIAL...


L'autre jour, m'en allant promener à la claire fontaine, je pensais à mon TEMPLE DE LA HONTE DU CACANADIEN DE MOURIAL.  Que cet édifice déglingué fasse pitié, c'est approprié puisque son aspect miteux correspond, comme il se doit, à sa fonction honteuse, comme toute architecture digne ou indigne de ce nom.  Mais, en y réfléchissant, je me suis dit qu'il fallait avant tout porter attention aux visiteurs qui fréquentent ce lieu dédié à la démolition du mythe, devenu depuis longtemps sans fondement, de l'ancienne tradition d'excellence des CHaudrons de la métropauvre moronréalaide.  Si près de 57 % de ma "clientèle" vient du Canada et des États-Unis, il y a quand même plus de quatre visiteurs sur dix qui sont originaires des autres continents et qui ne connaissent pas autant le hockey sur glace que les nord-américains.  Il faut, il me semble, leur expliquer les raisons d'être de l'institution anti-CH, le HABS HALL OF SHAME, que j'ai fondé il y a déjà quelques années.  C'est d'ailleurs pour moi, une importante source de fierté de révéler aux pays du monde entier, que les Cannes à CHiens de Mourial, ce n'est plus ce que c'était, malgré leur réputation surfaite qui continue de tromper les gens un peu partout sur la planète.  C'est un fait que personne, à part moi, ne parle de la descente aux enfers du torCHon qui dure pourtant depuis près de deux décennies. 

Puisque le TEMPLE DE LA HONTE DU CH ressemble un peu à un musée, et que sa mission comporte un volet historique, il n'était pas superflu, bien au contraire, d'apposer sur ses murs abîmés des plaques, plus ou moins rouillées ou pourries (pour s'agencer au bâtiment défraîchi) sur lesquelles on peut lire des informations sur la décadence des CHieux.   Ainsi, l'étranger qui entre dans le Temple, même s'il est peu familier avec le hockey, pourra comprendre à quoi rime mon entreprise et cet environnement si particulier, dédiés à la honte et l'humiliation de la Sainte Guenille de Mourial.  Dans mes prochains billets, je vais recopier ici les inscriptions qui seront gravées à jamais sur les plaques accrochées aux murs du Habs Hall of Shame.  Je vais me faire un plaisir de combler cette lacune sur cette partie trop escamotée ou cachée de l'histoire récente d'un "Canadien devenu gênant" et que l'on cherche toujours à dissimuler sous le tapis ou sous la tapisserie... C'est bien compréhensible que les fefans ne veulent pas entendre parler des années 2000. Elles ont peut-être été les pires dans les cent ans d'histoire de la Guenille.

Il y a deux ans, les cérémonies à n'en plus finir du centenaire voulaient sans doute masquer cette décade marquée : par l'incompétence de la direction du club dont l'influence dans le hockey n'a pas cessé de péricliter; par des scandales révélés ou étouffés; par des émeutes de fefans (Allo la crasse - surnom donné par les joueurs du CH à la tribu des primates de la zone [-zoo-] Molson Ex-) qui sont devenus la honte de la société, du CH, de Mourial, du Québec et du Canada tout entier ! Et vous croyez que les Anti-Habs vont laisser passer le plaisir de retourner le fer dans la plaie de ces années de pourriture ? No way !  Car oui, il faut le souligner, les deux phénomènes vont de pair : la décadence des CanaCHiens a été accompagnée par celle de ses partisans, devenus de plus en plus des colons et des vandales.  Ils n'ont plus de classe.  Par leurs performances ou leurs actes, ils continuent de s'abaisser au fil des années, que ce soit au classement de la LNH ou dans l'opinion publique.


Je me souviens très bien de ce qui a été à l'origine de la longue glissade des CHieux dans la merde. Je me rappelle de ce jour, en 1995, où un de mes chums m'avait téléphoné pour m'annoncer que les CHaudrons venaient de nommer l'insignifiant de Réjean Houle (ci-dessus) directeur général, et le retardé mental du Lac St-Jean, Mario Tremblay, entraîneur en chef. J'avais bien ri, croyant que mon chum faisait une joke ! Quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre, au bulletin de nouvelles, que la joke était vraie ! Je n'en revenais tout simplement pas !

Si le Ti-Coune à Tremblay a été rapidement écarté du portrait parce qu'il était nul à CHier, Peanut Houle, celui qui a un cul-de-sac dans le cerveau, était encore en poste lorsque la décennie 2000 a commencé. Peu avant, le 30 septembre 1999, le CanaCHien était devenu le "Koivu's Team". Imaginez, Saku avait été élu Kapitaine par les joueurs en devançant au vote le voyou à Shayne Corson et un des pires navets de l'histoire du torCHon, et j'ai nommé Turner Stevenson ! Même si le "trois pommes" à Koivu n'a jamais daigné parler un mot de français et même si son règne a été marqué par la défaite avec un grand "D", seul Jean Béliveau a porté le "C" plus longtemps que lui dans l'histoire du CHiendent.  Le jour où le Caca a repêché ce Finlandais fragile comme de la porcelaine, le représentant du club de broches à foin de Mourial, n'avait même pas été capable de prononcer son nom comme il faut.  C'est dire comment les gens de la direction de l'équipe le connaissaient !  C'était déjà là un mauvais présage...  Et l'avenir devait confirmer ce mauvais choix.  Le futur capitaine du torCHon a effectivement conduit le navire de la CHiasse directement sur...les récifs...

Comme d'habitude, la première année du "feluette" Finlandais comme leader du torCHon s'est résumée à de graves blessures. Il n'a disputé que 24 parties. Pour une deuxième saison de suite les CHieux ont été exclus des séries éliminatoires et leur meilleur pointeur (Martin Rucinsky, 49 pts) n'a pas réussi à atteindre le cap des 50 points. Dainius Zubrus a fini deuxième avec 42 points et Sergei Zholtok a pris le 3e rang en amassant 38 points. WOW ! Quelle attaque anémique ! Parmi les autres nouilles dont les Anti-Habs se sont tellement moqués cette année-là, notons les Igor Ulanov, Patrick Poulin et Craig Darby. Mais ce n'était rien à côté de ce que nous réservait la saison suivante...


Ironiquement, pendant toute cette année-là (2000), les fefans n'avaient pas arrêté de prédire une Coupe Stanley à leurs héros, sous prétexte qu'ils la gagnaient à tous les sept ans (1979, 1986, 1993). Ça se voit souvent dans les sectes ce genre de superstition "gaga". Alors le fait que le Caca ait manqué le bateau des séries, au tournant du nouveau millénaire, était doublement humiliant pour les ruminants de la CHique putride !

Autre manque de pot, le Super Man des Glorieux, Maurice Richard, a eu la mauvaise idée de mourir le 27 mai 2000. Bien que le Rocket détestait les mondanités, la direction moronréalaise aimait le "sortir" lors d'occasions spéciales pour servir sa propagande, faire oublier la médiocrité des années courantes, et rappeler aux fefans que le CH avait déjà été représentatif du peuple québécois, avant de devenir un club de mercenaires étrangers jouant uniquement pour remplir leurs poches. Qu'à celà ne tienne, le président du club, Pierre Boivin, et ses artistes de la mascarade, se sont arrangés pour obtenir un peu le même effet magique (produit par un des derniers joueurs du Canadien qui a eu du coeur) : ils lui ont érigé une statue sur la Place du Centenaire, huit ans après sa mort...  Une façon d'essayer de redorer le blason d'une organisation en déclin, dont la seule préoccupation est de leurrer leurs pauvres imbéciles de clients qui continuent, malgré les promesses non tenues, de faire fonctionner la machine à saucisses...

mardi 2 octobre 2012

MATHIAS BRUNET ET RENAUD LAVOIE INTRONISÉS AU TEMPLE DE LA HONTE DU CH.


Lorsque le torCHon traverse une période de sécheresse ou qu'il est dans une mauvaise passe, les journaliCHes-culs moronréalaids se font discrets dans le vestiaire du club.  Ils longent les murs, marchent sur des oeufs et susurrent des questions à voix basse aux joueurs et aux entraîneurs, histoire d'embrasser le bobo pour que ça fasse moins mal. Des questions douces, mielleuses et délicates contenant intrinsèquement des excuses pour que les porteurs du flambeau éteint du CH saisissent la perche qui leur est tendue et s'en tirent ainsi sans coup férir. Dans cette ambiance de salon funéraire où on pourrait entendre une mouche à marde voler, les journaliCHes-culs se transforment en prêtres de la Sainte guenille pour atténuer ses malheurs. On parle ici des pseudo-scribes francophones de la métropauvre car les anglophones n'ont pas cette attitude d'à-plat-ventristes et de lèche-bottines. Leurs questions sont nettement plus mordantes quoiqu'elles ne sont pas aussi terribles qu'elles pourraient l'être en pareilles circonstances. Faut quand même protéger ses privilèges et éviter d'être chassés du vestiaire. Il faut bien gagner sa vie...  



À l'inverse, quand tout va bien et que les CHieux sont victorieux, la flagornerie et le baise-cul sont de mise pour les tetteux de jack straps tricolores.  Ils se transforment tous en cheerleaders et se font aller allègrement le pompon pour inviter la foule des fefans à pousser d'assourdissants "Olé" "Olé" "Olé" (à moins que ce soit des "ohé" "ohé" "ohé" - ce n'est pas clair, mais ce qui est certain c'est que l'on singe ainsi les cris d'encouragement des partisans de soccer européens -).  On plaisante, on rit, on est "buddy buddy" avec les dieux du stade, on est heureux comme des cochons qui se roulent dans la fange.  On se fait un point d'honneur de se travestir en fefans du CH, de porter les valises des membres du club des Molson, et on se fout totalement de l'éthique de la profession de journaliste.  De vraies putes...  De vraies prostituées.  De vraies guidounes...  C'est le travail à la chaîne, chacun son tour de lécher des raies CHicolores (voir caricature en haut de page).  Partout ailleurs, dans notre société, un tel comportement de "vendu" serait dénoncé et condamné.  Mais pas dans le giron de la Sainte Flanelle...  Même quand ces rongeux de balustre de la religion bleue, blanc, merde détiennent des informations privilégiées au sujet de scandales impliquant les p'tits gars de la sCHnoutte, ils préfèrent garder le silence pour protéger à la fois leurs arrières et cette organisation de broches à foin qui est en quelque sorte leur gagne-pain et leur raison de vivre...  

On a pu vérifier cette assertion il y a trois ans alors que le journal LA PRESSE s'apprêtait à dévoiler des scandales d'ordre sexuel impliquant des porte-couleurs du torCHon.  Des rumeurs couraient à l'effet que des arrestations de joueurs des Cannes à CHiens devaient être effectuées par la police à l'aéroport de St-Hubert.  Pour éviter qu'une foule de curieux nuisent à l'opération policière, on avait décidé de détourner le vol des CHieux vers un endroit plus discret.  L'équipe des Molson revenait d'un match à l'étranger.  Et puis, pouf !  Comme par magie, les rumeurs se sont volatilisées !  Les journalistes dénonciateurs se sont-ils auto-censurés au nom de leur fidélité à la Sainte Guenille ?  L'ordre de ne pas publier cette "bombe" est-il venu d'en haut après que les dirigeants des CHaudrons aient exercé des pressions ou procédé à du tordage de bras dans les rangs des responsables de la rédaction du journal ?  On ne le saura peut-être jamais...  


Parmi cette race de chiens couchants, qui vont se blottir aux pieds de l'Empire du Cacanadien ou lèchent les mains et le postérieur de ses membres, on retrouve le vil Renaud Lavoie de RBS (réseau bull shit).   Il faut le voir, le grand sourire aux lèvres, le regard mielleux et les fesses serrées, quand il s'approche d'un joueur du torCHon pour réaliser une entrevue.  Il faut l'entendre donner du "my friend" gros comme le bras à ses "amis" de la CHiasse lorsqu'il leur dore la pilule même s'il s'adresse à un deux de pique qui vient de jouer un match pourri.  Qui sait, doit-il se dire en lui-même, peut-être qu'un jour ce joueur millionnaire, qu'il flatte servilement, l'invitera à son chalet d'été, lui donnera un "scoop" ou lui fera une faveur du même genre. On ne tette jamais assez pour s'attirer des grâces dans un pays où le hockey est une religion qui rend complètement "gaga" l'innombrable foule des fefans bipolaires qui se rendraient jusqu'à la lune pour voir jouer leurs preux CHevaliers de la rondelle. 



On dit parfois que la presse est le quatrième pouvoir (après les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire).  Mais les journaliCHes-culs qui "couvrent" les CHaudrons de Mourial, sont ravis de céder ce pouvoir ou, plutôt, de le mettre au service du CH.  Comme les députés du gouvernement qui y vont souvent de belles questions "plantées" (arrangées avec le gars des vues) pour mettre en valeur leurs confrères ministres ou les réalisations du parti au pouvoir, les journaliCHes-culs interrogent fréquemment l'entraîneur du Caca en faisant l'éloge de tel ou tel joueur qui s'est particulièrement distingué lors de la dernière partie. Ça ressemble à des : «Michel (Therrien), P.K. a été formidable ce soir, n'est-ce pas ?» ou des «Plekanec a joué toute une game hein coach?» ou encore «Ne crois-tu pas Michel que Price mérite le trophée Hart cette année ?» Des renifleux de pets qui s'extasient sur la bonne odeur qui émane du derrière de CHieux léchés à point... Miam ! Miam ! Menoum ! Menoum !  Un chausson plein de bonne marde CHicolore avec ça ?  Rien qu'à voir sa langue brune et son nez de la même couleur, il n'y a aucun doute, Renaud Lavoie est un des meilleurs mange-marde du Cacanadien.  Point besoin de tergiverser longtemps, il possède amplement l'étoffe nécessaire pour être élu, par acclamation, membre émérite du TEMPLE DE LA HONTE DU CH (Habs Hall of Shame). 


Lorsqu'on lit les articles de presse, écrits au sujet du Cacad'CHien, dans les journaux québécois, on se demande si ce n'est pas de l'info-publicité !  Et à regarder certaines émissions de télé où les invités chantent les louanges des CHieux, on croirait encore visionner des épisodes de la série  NOS CANADIENS au canal V !  On se rappelle que dans ces portraits des joueurs-héros de la CHiure, l'animatrice Anne-Marie Whitenshaw se transformait en véritable "groupie" des pousseux de puck du club moronréalaid.  De quoi lever le coeur des partisans d'un journalisme rigoureux, dont les buts sont de rechercher la vérité et de montrer les deux côtés de la médaille dans chaque dossier étudié.  Le cas le plus flagrant et le plus navrant de partialité journalistique en faveur des CHieux est fort probablement Mathias Brunet, le journaliCHe-cul de LA PRESSE qui a le CH tatoué sur le scrotum.  Avec ses yeux vitreux de poisson aphasique et ses oreilles de goret gavé à la CHarogne, Brunet filtre la moindre bribe d'information et la reformate en version cacanadienne. 


Sa capacité de raisonnement égale celle d'une feuille de chou.  La feuille de chou qu'il écrit dans son blogue à LA PRESSE.  Ses accointances avec son partenaire de golf, l'incompétent recruteur en chef du CH Trevor Timmins, sont bien connues.  Affirmer, comme le fait constamment Brunet, que Timmins est un génie, relève du délire quand on constate que, grâce à ses merveilleux choix de repêchage, le Cacanadien et les Bull Dogs de Hamilton (le club ferme du CH) ont fini dans les bas-fonds du classement de leur ligue respective, la saison dernière.  Des niaiseries, des absurdités et des conneries, Brunet en chie toutes les semaines dans son blogue merdique.  Par exemple, quand le Caca a commis la gaffe du siècle en allant chercher Scott Gomez à New York, le pauvre Mathias a été assez niochon pour saluer cette transaction en écrivant que le CH s'était déniché un joueur de centre no 1 de très bonne qualité.  Rappelons que dans le Big Apple les partisans des Rangers étaient tellement écoeurés de l'anémique "gomer" qu'ils voulaient le chasser de la ville en le lapidant; tout en demandant la tête du DG Glen Sather pour avoir eu l'outrecuidance incroyable de faire signer un contrat digne de Wayne Gretzky à cet indifférent américain de l'Alaska.  Faut croire que Mathias Bruniais n'était pas au courant de ces faits.  À part Bob Gainey, l'andouille de boss des CHieux qui a commis cet impair désastreux, l'infortuné Mathias était probablement le seul à ignorer que Gomez était un joueur en fort déclin qui avait décidé de s'asseoir sur son contrat faramineux.


À force de se fourrer aussi souvent le doigt dans l'oeil jusqu'au coude, Brunet ne doit plus rien sentir du tout.  Il couche et se roule dans le grand lit à baldaquin du CanaCHien en faisant de beaux rêves et en endormant quotidiennement les fefans qui prennent ses écrits pour ceux des évangiles.  J'aurais pu inclure l'écervelé Ron Fournier dans ces intronisations au Temple de la Honte du CH.  Mais le sénile Ron Ron Ron n'est pas éligible puisque c'est un clown, pas un journaliste.  De plus, j'ai l'âme trop charitable pour me moquer ainsi d'un infirme, à qui il manque plusieurs bardeaux.  Disons qu'avec Lavoie et Brunet, j'ai amplement matière à me contenter pour l'instant...  Deux langues brunes pas ordinaires viennent s'accrocher sur les planches rugueuses de mon Habs Hall of Shame !  Deux belles prises parmi la gent journalistique dévouée au CHicolore.  Contrairement à ce que l'on croit, la prostitution est bel et bien légale au Québec.  La preuve ?  Regardez agir Renaud Lavoie et Mathias Brunet qui sont payés pour coucher avec le Cacanadien...   

jeudi 9 août 2012

LE TEMPLE DE LA HONTE DU CH : PLUS "PROPRE" QUE LE TEMPLE DE LA RENOMMÉE DU CENTRE POUBELL...


Je sais, je sais... Le Temple de la Honte du CH (Habs Hall of Shame), dont je suis l'heureux fondateur et l'unique administrateur, ne paie pas de mine. Le toit coule, la bise passe entre les planches des murs, les toiles d'araignées s'étendent partout, le plancher craque et la pourriture ronge la charpente... Mais cette décrépitude est voulue. Elle est logique puisque, c'est bien connu, "la forme suit la fonction", comme l'a si bien énoncé le grand architecte américain Louis Sullivan. Le Canadien de MortYial étant un club pourri, rien de plus naturel que son Temple de la Honte soit à son image. Même s'il est tout croche et un peu sale, le Habs Hall of Shame est cependant bien plus propre et honorable que son pendant du Centre PouBell, appelé le Temple de la Renommée des Canadiens. En effet, on a appris le printemps dernier, que les ¾ des collections d'objets exhibés entre les murs de ce Temple, aménagé pour rendre hommage aux héros de la Sainte Guenille, appartiennent à un présumé criminel, Allan Rubin, qui est possiblement l'un des plus gros fraudeurs au Canada. Il est accusé depuis plus de cinq ans, d'avoir volé le trésor public pour une somme d'environ 40 millions de dollars, en se faisant notamment l'architecte et le chef principal d'un vaste réseau de fraude dans le domaine de l'or et des métaux précieux.


Or, c'est à cet individu de Westmount, un gars sans scrupule, que le "prestigieux" Cacad'CHien de Mourial a loué l'essentiel des pièces qui constituent son Temple de la Renommée. Des pièces (bâtons, chandails, rondelles, cartes de joueurs, trophées, etc) qui ont probablement été achetées et financées par de l'argent sale. Honteux ! Plus croche et plus sale que le Temple de la Honte du CH ! Les responsables du Temple de la Renommée des CHieux ont plaidé l'ignorance (crasse) quand les journalistes leur ont mis le nez dans le caca de monsieur Rubin. Celui-ci est pourtant un gros requin de la finance qui habite pas loin du repère des Molson. Son nom circule dans les palais de justice depuis 2007. Difficile de l'ignorer ! Et pourtant...



Immensément riche, Rubin peut se payer les meilleurs avocats. Ils sont des experts en "procédurite". Depuis cinq ans, ils multiplient les procédures, contestent des éléments de preuve et retardent sans cesse la tenue du procès au cours duquel leur client véreux doit être jugé. Pendant ce temps, Rubin continue de mener un train de vie princier. Sans compter qu'il fait de bonnes affaires avec l'organisation du torCHon. Non seulement il lui loue ses objets de collection à bon prix (pour lui), mais, ce faisant, Rubin épargne sur les frais d'assurances (qui doivent être assumés par le CH) et il jouit d'une visibilité extraordinaire pour son butin, ce qui fait augmenter sensiblement sa valeur. Mort de rire le bonhomme. Pendant ce temps, les gens du Cacanadien se ridiculisent en encourageant un individu plus que louche. Ce n'est pas la première ni la dernière fois que ça se produit. Les CHaudrons ont l'habitude de tremper dans des scandales...et de les étouffer, avec la complicité de membres "bienveillants" des médias ou de personnes "haut" placées.


Rappelez-vous, il y a trois ans, quand on avait rapporté que la police attendait l'équipe à l'aéroport de St-Hubert, afin de procéder à l'arrestation de certains joueurs, relativement à des histoires de moeurs (détournement de mineures, agressions sexuelles, viols, etc). Rappelez-vous aussi le gars de la pègre qui fournissait les frères Kostitsyn et Roman Hamrlik en vodka et en "escortes"... Rappelez-vous les visages "catastrophés" des Jacques "popositif" Demers, Pierre Houde et autres Benoît Brunet à la télé du CH, qui semblaient résignés à devoir composer avec ces scandales sans précédent dans le monde du hockey. Et puis oups ! Tralala ! Coup de baguette magique ! Disparu tout ça ! Comme par enchantement... Le journal LA PRESSE, qui devait faire ces révélations choquantes, changeait soudain d'avis et reculait devant...les forces de l'ombre CHicolores... Mystère et boule de gomme ! Les têtes dirigeantes du Caca ont sûrement acheté des témoins gênants et elles ont peut-être aussi tordu quelques bras... On ne le saura jamais... Ce que l'on sait, c'est que tous les joueurs soupçonnés ont été ensuite échangés, ou que leur contrat n'a pas été renouvelé.


Même si mon Temple de la Honte se caractérise pas une certaine improvisation, il est quand même mieux organisé que le Temple de la Renommée situé au Centre BéBell. À preuve, ce coin du Temple de la Renommée du CH destiné à rendre hommage au vieux Forum. On peut y voir des mannequins, grandeur nature, portant les couleurs de la CHiasse et célébrant un but devant une image de l'ancien aréna aux fantômes bien sympathiques à la cause des "Glorieux". Sauf que les mannequins en question sont à l'effigie de P.K. Subban, de David Desharnais, de Josh Gorges et de Tomas Plekanec, tous des joueurs qui n'ont jamais joué au Forum de Moronréal. Pas fort ! Je sais bien que les dirigeants des CanaCHiens tentent par tous les moyens de donner le lustre d'antan à la misérable édition actuelle de l'équipe, mais il y a quand même des maudites limites !

Un peu plus loin, une murale de cartes d'anciens joueurs de la Flanelle flétrie, cherche à immortaliser les beaux jours de la concession des Molson. Il y a cependant un hic...ou deux. En effet, la carte identifiée à Mario Tremblay, ne montre pas le bleuet bionique mais plutôt Gord McTavish, un de ses anciens coéquipiers avec les Voyageurs de la Nouvelle-Écosse, au temps où le club école du torCHon était dans les provinces maritimes. Même genre d'erreur sur la carte de Doug Risebrough où on voit plutôt le moustachu Bob Gainey !

Toute cette hypocrisie, tout cet amateurisme viennent miner tout ce qui restait à cette organisation en pleine déchéance : son passé illustre. Non seulement les Canailliens traînent maintenant dans les bas fonds de la NHL (et leur avenir ne semble pas plus brillant), mais ils frayent avec des bandits (outre Rubin il y en a un autre du même genre qui s'occupe de la boutique des souvenirs du Centre Bell) et ils ne sont même pas capables de mettre en valeur, comme du monde, les faits d'armes de leurs anciennes dynasties, favorisées par des règlements biaisés en leur faveur (recrutement et repêchage, entre autres). C'est tout simplement pathétique ! Mais ça me fait bien rigoler, tout comme tous les autres Anti-CHieux.

mercredi 27 juin 2012

LE TEMPLE DE LA HONTE DU CH ACCUEILLE LE GROUPE DE VENDUS LOCO LOCA$$...



Comme le Temple de la Renommée du Hockey, le Temple de la Honte du CH est un musée. Un musée du hockey, digne de ce nom, doit contenir non seulement des portraits de joueurs fameux (ou pourris, pour ici), mais il doit également regorger de divers artefacts, de documents écrits, d'images pertinentes, de bandes sonores révélatrices, qui servent à illustrer l'Histoire. Je vous ai déjà informés que mon HABS HALL OF SHAME est situé dans un trou au milieu de nulle part (un peu comme la ville de Moronréal). Cet édifice poussiéreux et tout croche, à l'image du club de CHaudrons de la métropauvre, branle au vent dans un coin du petit Canada, en pleine sauvagerie. Si je n'avais pas eu peur d'effaroucher les bêtes sauvages qui vont rôder à proximité de cette vétuste bâtisse, délabrée comme la multitude de taudis qui logent les quatre millions de rats mourialaids chassés des égouts par de multiples travaux de rafistolage, j'aurais pu accueillir les visiteurs du Temple de la Honte du CH au son de la chanson LE BUT, du groupe LOCO LOCASS (ou est-ce Loto Locash ?). J'ai préféré patenter le bol de toilette du Temple afin que la chanson joue chaque fois qu'un visiteur actionne la clenche pour flusher sa merde ou son urine. Cette toune de merde, qui est bien plus une série d'éructations monocordes, a été lancée, il y a quelques années, par les ti-counes de loco cocasse, dans une tentative de séduire les fefans bipolaires du Cacad'CHien.



C'est clair comme de l'eau de cruCHe CHicolore qu'il n'est question que du lointain passé du Cacanadien, dans ce ramassis de clichés dépassés et usés à la corde, marmonnés par des gars en quête de $$$, qui ont visiblement trop fumé de "H" (à moins que ce ne soit du "CH"), et qui essaient en vain de chanter mieux que des vaches espagnoles. Comment auraient-ils pu écrire des paroles pour glorifier la bande de pousseux de puck qui fait honte aux Québécois depuis près de vingt ans ? Les membres du groupe, que l'on reconnaît facilement à leurs ridicules casques de saltimbanques ou de fous du roi, ont tenté de vendre des albums, avec cette composition grotesque, en l'interprétant devant le Centre PouBell, durant les séries éliminatoires, il y a trois ans.


Pour vous remettre dans le contexte de ce temps-là, l'oncle George (l'Américain George Gillett) était encore propriétaire du torCHon, grâce à un prêt avantageux (avantageux pour lui qui, à l'époque, n'avait pas un sou, car il venait de faire faillite) consenti par le gouvernement du Québec afin de garder à MortYial ce club qui, mis en vente au début du millénaire, n'avait attiré aucun acheteur après plusieurs mois d'attente. Ainsi donc, un groupe de mottés identifié au mouvement nationaliste-souverainiste-séparatiste-ou-autres-istes-de-christ-de-machin-truc-du-genre, s'abaissait soudain à chanter les louanges d'une équipe composée presque exclusivement de joueurs non Québécois, propriété d'un yankee. Vous vous doutez bien que je ne voulais absolument pas laisser passer cette loufoquerie sans mettre en évidence le ridicule consommé de cette situation. Voici le texte que j'avais rédigé à l'époque sur mon blogue CH COMME DANS TORCHON, un site que des fefans frustrés ont fait censurer parce qu'il montrait trop bien la déchéance de leur club poche et miné par des scandales de toutes sortes.


«Elle est bien bonne celle-là ! Les pseudo-nationalistes de Loco Loca$$ ont pondu (comme des poules mouillées) une chanson (???) à la gloire des CHieux ! Pour ajouter l'insulte à l'injure, nous avons appris avec honte et en rougissant, que cette pièce, aussi mélodieuse qu'un concert de casseroles, vient en plus d'anciens partisans des Nordiques ! Troquer le fleurdelysé pour le torCHon des Habs. Misère...faut pas s'aimer, câliboire ! Faut pas se respecter pour cinq cents !

Ouais... faut croire que les temps sont durs à cause de la crise économique et du piratage de musique sur internet... La toune s'appelle LE BUT. Un groupe québécois nationaleux qui "rappe" en joual anglicisé, dans le style de musique des noirs américains, ça me fait toujours rire et ça fait pitié. Doit-on parler de néo-colonialisme ou d'un groupe de morons qui n'a pas de personnalité ? On n'est plus à l'époque des rigodons, mais comme style québécois authentique, on repassera. Complètement déphasé et ridicule. Comme les paroles de la chanson d'ailleurs, un panégyrique des Canailliens dans lequel il n'y a pas un mot de vrai.

Pour Loco conasses, le but avec LE BUT, c'est évidemment de faire du pognon ($$$). Je pourrais parier que les gars ne pensent pas un mot de ce qu'ils ont écrit. Ils veulent "surfer" sur la vague payante des fefans hystériques, comme le fait si bien leur exploiteur américain oncle George. La camelote avec le CH étampé dessus, ça vend ! Et beaucoup ! Dix fois le prix de la valeur réelle ! Fanatisme = aveuglement. Belle recette pour prospérer, même en reniant ses idéaux. L'argent n'a pas d'odeur (même celle des merdeux) et ça vaut la peine de s'abaisser pour la ramasser lorsqu'elle traîne par terre, dans la saleté, au milieu des fefans.




Dire, comme les loco locrasse, que le Montreal American Team, du yankee George Gillett, est le symbole d'unité des Québécois, c'est rire du monde. Ça fait toujours du bien à des colonisés, qui s'ignorent, de baiser le derrière des CHieux qui, ne nous trompons pas, ont toujours été le symbole de l'establishment des anglos de Mountriawl. C'est renversant de lire ou d'entendre les éructations et les élucubrations politiques saugrenues qui sortent de la bouche de ces abrutis-là. C'est digne des sans abri ivres de Haïti Nord...


Et pour couronner le tout, pour mettre le glaçage sur le gâteau et mousser les ventes de leur torCHon de chanson, rien de mieux que de craCHer, au passage, sur les gens de Toronto. Ça donne bonne bouche et ça excite les ados, les meilleurs clients de loco cacasse. Je ne peux pas croire que d'anciens partisans des Nordiques puissent descendre si bas. Vendus ou vendeurs ? Pourquoi pas les deux ! Loco Loca$$ a choisi le meilleur des deux mondes. Honteux, dégoûtant et dégradant...» Y a pas à dire, ça crève les yeux et ça blesse les oreilles : les auteurs de LE BUT ont leur place au TEMPLE DE LA HONTE DU CH !

jeudi 31 mai 2012

PIERRE SÉVIGNY : LE LINDROS RATÉ DU CANACHIEN...



Si, comme le prouve la photo ci-dessus, Pierre Sévigny a une oreille plus grande que l'autre, il doit imputer cette infirmité à sa carrière ratée avec le CanaCHien de Mourial. Même si son passage dans l'uniforme CHicolore fut bref (il a joué 75 parties pour le torCHon entre les années 1993 et 1997), ses instructeurs lui ont tellement crié par la tête (mais toujours dans l'oreille gauche) parce qu'il jouait comme un pied, que cette partie de son anatomie a été atrophiée. Plus ses entraîneurs l'abîmaient de bêtises en l'abreuvant d'injures quand il retournait au banc des joueurs ou lorsqu'il se faisait planter durant les pratiques, plus Sévigny avait tendance à contracter son oreille pour moins les entendre. Pourtant, en 1989, avant d'être repêché en troisième ronde (51e choix au total) par les CHaudrons moronréalaids, ce trifluvien né le 8 septembre 1971, n'avait entendu que des éloges à son égard, durant son stage dans le hockey junior. À cette époque, certains illuminés, sans doute des ti-jos connaissants comme il y en a tant dans la métropauvre de MortYial, prétendaient que Sévigny était le deuxième meilleur prospect de sa génération après... Eric Lindros ! Ils ont vite déchanté en se rendant compte qu'ils étaient complètement en dehors de la "track". Encore aujourd'hui, vingt ans plus tard, Pierre Sévigny est une référence en matière de "flop" ou de joueur raté. Les amateurs de hockey du Québec, le cite toujours en exemple quand ils parlent d'un grand espoir déchu.



"Ahhhh", s'exclameront les fefans bipolaires de la CHnoutte, ça peut arriver, même aux meilleures organisations de hockey, de se tromper. Le repêchage n'est pas une science exacte. J'en conviens aussi. Sauf que ce genre de bévue ne devrait pas être commis par les "super Canadiens de Montréal", cette équipe glorieuse, qui, selon ses partisans fanatiques, est dans une classe à part, puisqu'elle est forte de la conquête de 24 coupes Stanley. Mais voilà, soyons réalistes, aujourd'hui, après vingt ans de mauvais choix au repêchage, le Cacanadien se retrouve au dernier rang au classement de sa Conférence et il ne peut plus prétendre faire partie des meilleures organisations du hockey professionnel. N'en déplaisent aux fefans névrosés... Les résultats sur la patinoire font foi de tout...implacablement ! Oui, le Caca est pourri, depuis longtemps, et pour longtemps ! Pourri, de la tête dirigeante jusqu'aux pieds (ses joueurs qui jouent comme des pieds).

Curieusement, j'introduis Pierre Sévigny dans mon Temple de la Honte du CH, au moment où Marc Bergevin vient d'hériter du poste de gérant général de la CHarogne. Le nouveau boss hockey du club des Molson est semble-t-il une sorte de "Symphorien" qui raconte des jokes de "mon oncle". Ça adonne bien car Sévigny était lui aussi un cancre qui était reconnu comme un comique burlesque qui distrayait les journalistes par ses farces saugrenues lorsqu'il évoluait pour les CHieux. C'est à se demander si lui et Bergevin ne sont pas apparentés tellement ils semblent partager cette mentalité de ti-Coun si typique des crétins de basse cour. Si Bergevin connaît autant de succès que Sévigny à la tête des CHaudrons, les anti-habs n'ont pas fini de se taper sur les cuisses ! En 78 matchs dans la Ligue Nationale (il a terminé sa carrière en disputant trois rencontres pour les Rangers de New York durant la saison 1997-98) le hockeyeur aux oreilles dissemblables a marqué quatre buts en plus de fournir cinq aides. Wow ! Neuf gros points pour celui qui devait concurrencer Eric Lindros ! Brillant et mirobolant, chers éclaireurs et dépisteurs de talent du CHiendent, qui ont chaleureusement recommandé son recrutement !



De son propre aveu, Sévigny n'était pas assez "vite" et "confiant" pour réussir chez les professionnels : «Dans la Ligue Nationale, je gèle», avait-il confié en 2000, lors du camp d'entraînement du Bleu, Blanc, Merde. Ce qui explique la dégelée que fut la carrière de ce "gelé" avec la CHiasse. En fait, durant sa courte expérience chez les pros, ce gars de Trois-Rivières, qui a joué aussi pour les Citadelles de Québec, dans les mineures, s'est plus fait remarquer par sa grande gueule que pour ses "exploits" sur les patinoires des villes de la LNH. Lorsque les nombreux membres des médias d'information étaient en peine de leur peau, entre deux entraînements ou deux défaites des CHieux, ou lors des longues attentes dans les aéroports ou les lobbys d'hôtels, ils recherchaient la présence de Sévigny, ce bouffon, émule de Coco le clown. À l'aise en public comme une grenouille dans la vase, l'ex-numéro 20 (il a aussi porté le dossard no 15) du Cacad'CHien était tout un boute-en-train et un paquet de nerfs, qui donnait des spectacles toutes les fois qu'il s'ouvrait la trappe et y allait de ses diarrhées verbales saccadées. Grand parleur, petit faiseur, en somme... C'était, en quelque sorte, le ti-Guy Émond des hockeyeurs. Un gros goupillon à salive ! Un vrai moulin à paroles (insignifiantes) qui déconnait tellement qu'il en venait fréquemment à s'exprimer dans une langue que lui seul pouvait comprendre. Et, encore là, on ne peut jurer de rien. Qui sait s'il ne s'égarait pas lui-même dans les labyrinthes de son propre CHarabia...

Ne serait-ce que pour ce langage de timbré, fruit difforme d'un esprit tordu, caractéristique commune qui unit cet ex-joueur pourri et les frappés de fefans du CHicolore, Pierre Sévigny mérite, haut la main, sa place dans mon "Habs Hall of Shame", ce shack branlant et tout croche au milieu de nulle part, qui accueillera bientôt son 5 000e visiteur... Bienvenue Pierre ! Au plaisir de te rencontrer dans ma cabane au Canada ou dans le Tim Horton's de la rue Bouvier à Québec, où tu es propriétaire franchisé d'une entreprise de 52 employés dévoués, qui connaissent les secrets de ton CHarabia... Ha ! Ha ! Ha !