mardi 2 octobre 2012

MATHIAS BRUNET ET RENAUD LAVOIE INTRONISÉS AU TEMPLE DE LA HONTE DU CH.


Lorsque le torCHon traverse une période de sécheresse ou qu'il est dans une mauvaise passe, les journaliCHes-culs moronréalaids se font discrets dans le vestiaire du club.  Ils longent les murs, marchent sur des oeufs et susurrent des questions à voix basse aux joueurs et aux entraîneurs, histoire d'embrasser le bobo pour que ça fasse moins mal. Des questions douces, mielleuses et délicates contenant intrinsèquement des excuses pour que les porteurs du flambeau éteint du CH saisissent la perche qui leur est tendue et s'en tirent ainsi sans coup férir. Dans cette ambiance de salon funéraire où on pourrait entendre une mouche à marde voler, les journaliCHes-culs se transforment en prêtres de la Sainte guenille pour atténuer ses malheurs. On parle ici des pseudo-scribes francophones de la métropauvre car les anglophones n'ont pas cette attitude d'à-plat-ventristes et de lèche-bottines. Leurs questions sont nettement plus mordantes quoiqu'elles ne sont pas aussi terribles qu'elles pourraient l'être en pareilles circonstances. Faut quand même protéger ses privilèges et éviter d'être chassés du vestiaire. Il faut bien gagner sa vie...  



À l'inverse, quand tout va bien et que les CHieux sont victorieux, la flagornerie et le baise-cul sont de mise pour les tetteux de jack straps tricolores.  Ils se transforment tous en cheerleaders et se font aller allègrement le pompon pour inviter la foule des fefans à pousser d'assourdissants "Olé" "Olé" "Olé" (à moins que ce soit des "ohé" "ohé" "ohé" - ce n'est pas clair, mais ce qui est certain c'est que l'on singe ainsi les cris d'encouragement des partisans de soccer européens -).  On plaisante, on rit, on est "buddy buddy" avec les dieux du stade, on est heureux comme des cochons qui se roulent dans la fange.  On se fait un point d'honneur de se travestir en fefans du CH, de porter les valises des membres du club des Molson, et on se fout totalement de l'éthique de la profession de journaliste.  De vraies putes...  De vraies prostituées.  De vraies guidounes...  C'est le travail à la chaîne, chacun son tour de lécher des raies CHicolores (voir caricature en haut de page).  Partout ailleurs, dans notre société, un tel comportement de "vendu" serait dénoncé et condamné.  Mais pas dans le giron de la Sainte Flanelle...  Même quand ces rongeux de balustre de la religion bleue, blanc, merde détiennent des informations privilégiées au sujet de scandales impliquant les p'tits gars de la sCHnoutte, ils préfèrent garder le silence pour protéger à la fois leurs arrières et cette organisation de broches à foin qui est en quelque sorte leur gagne-pain et leur raison de vivre...  

On a pu vérifier cette assertion il y a trois ans alors que le journal LA PRESSE s'apprêtait à dévoiler des scandales d'ordre sexuel impliquant des porte-couleurs du torCHon.  Des rumeurs couraient à l'effet que des arrestations de joueurs des Cannes à CHiens devaient être effectuées par la police à l'aéroport de St-Hubert.  Pour éviter qu'une foule de curieux nuisent à l'opération policière, on avait décidé de détourner le vol des CHieux vers un endroit plus discret.  L'équipe des Molson revenait d'un match à l'étranger.  Et puis, pouf !  Comme par magie, les rumeurs se sont volatilisées !  Les journalistes dénonciateurs se sont-ils auto-censurés au nom de leur fidélité à la Sainte Guenille ?  L'ordre de ne pas publier cette "bombe" est-il venu d'en haut après que les dirigeants des CHaudrons aient exercé des pressions ou procédé à du tordage de bras dans les rangs des responsables de la rédaction du journal ?  On ne le saura peut-être jamais...  


Parmi cette race de chiens couchants, qui vont se blottir aux pieds de l'Empire du Cacanadien ou lèchent les mains et le postérieur de ses membres, on retrouve le vil Renaud Lavoie de RBS (réseau bull shit).   Il faut le voir, le grand sourire aux lèvres, le regard mielleux et les fesses serrées, quand il s'approche d'un joueur du torCHon pour réaliser une entrevue.  Il faut l'entendre donner du "my friend" gros comme le bras à ses "amis" de la CHiasse lorsqu'il leur dore la pilule même s'il s'adresse à un deux de pique qui vient de jouer un match pourri.  Qui sait, doit-il se dire en lui-même, peut-être qu'un jour ce joueur millionnaire, qu'il flatte servilement, l'invitera à son chalet d'été, lui donnera un "scoop" ou lui fera une faveur du même genre. On ne tette jamais assez pour s'attirer des grâces dans un pays où le hockey est une religion qui rend complètement "gaga" l'innombrable foule des fefans bipolaires qui se rendraient jusqu'à la lune pour voir jouer leurs preux CHevaliers de la rondelle. 



On dit parfois que la presse est le quatrième pouvoir (après les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire).  Mais les journaliCHes-culs qui "couvrent" les CHaudrons de Mourial, sont ravis de céder ce pouvoir ou, plutôt, de le mettre au service du CH.  Comme les députés du gouvernement qui y vont souvent de belles questions "plantées" (arrangées avec le gars des vues) pour mettre en valeur leurs confrères ministres ou les réalisations du parti au pouvoir, les journaliCHes-culs interrogent fréquemment l'entraîneur du Caca en faisant l'éloge de tel ou tel joueur qui s'est particulièrement distingué lors de la dernière partie. Ça ressemble à des : «Michel (Therrien), P.K. a été formidable ce soir, n'est-ce pas ?» ou des «Plekanec a joué toute une game hein coach?» ou encore «Ne crois-tu pas Michel que Price mérite le trophée Hart cette année ?» Des renifleux de pets qui s'extasient sur la bonne odeur qui émane du derrière de CHieux léchés à point... Miam ! Miam ! Menoum ! Menoum !  Un chausson plein de bonne marde CHicolore avec ça ?  Rien qu'à voir sa langue brune et son nez de la même couleur, il n'y a aucun doute, Renaud Lavoie est un des meilleurs mange-marde du Cacanadien.  Point besoin de tergiverser longtemps, il possède amplement l'étoffe nécessaire pour être élu, par acclamation, membre émérite du TEMPLE DE LA HONTE DU CH (Habs Hall of Shame). 


Lorsqu'on lit les articles de presse, écrits au sujet du Cacad'CHien, dans les journaux québécois, on se demande si ce n'est pas de l'info-publicité !  Et à regarder certaines émissions de télé où les invités chantent les louanges des CHieux, on croirait encore visionner des épisodes de la série  NOS CANADIENS au canal V !  On se rappelle que dans ces portraits des joueurs-héros de la CHiure, l'animatrice Anne-Marie Whitenshaw se transformait en véritable "groupie" des pousseux de puck du club moronréalaid.  De quoi lever le coeur des partisans d'un journalisme rigoureux, dont les buts sont de rechercher la vérité et de montrer les deux côtés de la médaille dans chaque dossier étudié.  Le cas le plus flagrant et le plus navrant de partialité journalistique en faveur des CHieux est fort probablement Mathias Brunet, le journaliCHe-cul de LA PRESSE qui a le CH tatoué sur le scrotum.  Avec ses yeux vitreux de poisson aphasique et ses oreilles de goret gavé à la CHarogne, Brunet filtre la moindre bribe d'information et la reformate en version cacanadienne. 


Sa capacité de raisonnement égale celle d'une feuille de chou.  La feuille de chou qu'il écrit dans son blogue à LA PRESSE.  Ses accointances avec son partenaire de golf, l'incompétent recruteur en chef du CH Trevor Timmins, sont bien connues.  Affirmer, comme le fait constamment Brunet, que Timmins est un génie, relève du délire quand on constate que, grâce à ses merveilleux choix de repêchage, le Cacanadien et les Bull Dogs de Hamilton (le club ferme du CH) ont fini dans les bas-fonds du classement de leur ligue respective, la saison dernière.  Des niaiseries, des absurdités et des conneries, Brunet en chie toutes les semaines dans son blogue merdique.  Par exemple, quand le Caca a commis la gaffe du siècle en allant chercher Scott Gomez à New York, le pauvre Mathias a été assez niochon pour saluer cette transaction en écrivant que le CH s'était déniché un joueur de centre no 1 de très bonne qualité.  Rappelons que dans le Big Apple les partisans des Rangers étaient tellement écoeurés de l'anémique "gomer" qu'ils voulaient le chasser de la ville en le lapidant; tout en demandant la tête du DG Glen Sather pour avoir eu l'outrecuidance incroyable de faire signer un contrat digne de Wayne Gretzky à cet indifférent américain de l'Alaska.  Faut croire que Mathias Bruniais n'était pas au courant de ces faits.  À part Bob Gainey, l'andouille de boss des CHieux qui a commis cet impair désastreux, l'infortuné Mathias était probablement le seul à ignorer que Gomez était un joueur en fort déclin qui avait décidé de s'asseoir sur son contrat faramineux.


À force de se fourrer aussi souvent le doigt dans l'oeil jusqu'au coude, Brunet ne doit plus rien sentir du tout.  Il couche et se roule dans le grand lit à baldaquin du CanaCHien en faisant de beaux rêves et en endormant quotidiennement les fefans qui prennent ses écrits pour ceux des évangiles.  J'aurais pu inclure l'écervelé Ron Fournier dans ces intronisations au Temple de la Honte du CH.  Mais le sénile Ron Ron Ron n'est pas éligible puisque c'est un clown, pas un journaliste.  De plus, j'ai l'âme trop charitable pour me moquer ainsi d'un infirme, à qui il manque plusieurs bardeaux.  Disons qu'avec Lavoie et Brunet, j'ai amplement matière à me contenter pour l'instant...  Deux langues brunes pas ordinaires viennent s'accrocher sur les planches rugueuses de mon Habs Hall of Shame !  Deux belles prises parmi la gent journalistique dévouée au CHicolore.  Contrairement à ce que l'on croit, la prostitution est bel et bien légale au Québec.  La preuve ?  Regardez agir Renaud Lavoie et Mathias Brunet qui sont payés pour coucher avec le Cacanadien...