lundi 10 octobre 2022

TREVOR TIMMINS ADMIS AU TEMPLE DE LA HONTE DU CH, DANS LA SECTION «DÉBÂTISSEURS»...



Tout comme il existe une section des BÂTISSEURS au Temple de la Renommée du Hockey, à Toronto, je devais avoir son pendant négatif dans mon Temple de la Honte du CH (Habs Hall of Shame).

C'est à cet endroit, dans la partie des «DÉBÂTISSEURS», que j'ai le déshonneur d'accueillir Trevor Timmins, l'ex-sélectionneur en chef du Cacanadien de Mourial.  Par ses mauvais choix de repêchage, avant son congédiement cette année, après 19 ans de services, il a largement contribué au déclin du club de hockey de la métropauvre québécoise.

Grâce à son incompétence, la réputation des CHaudrons s'est ternie encore davantage.  Son ancien prestige est disparu, et l'équipe a glissé vers le dernier rang de la LNH.  Bref, c'est la honte qui a pris le dessus.

Timmins avait un rôle clé puisque, avec le temps, le repêchage des joueurs amateurs est devenu le seul moyen d'améliorer le torCHon.

Les autres moyens ne sont plus disponibles depuis belle lurette.  Les agents libres ne veulent rien savoir du bidonville dépotoir de Haïti-Nord.

Même lorsque l'équipe surpaye à outrance un joueur pour évoluer avec elle, ce dernier se traîne les patins sur la patinoire jusqu'à ce que sa demande d'être échangé soit exaucée.  Et on sait que, dans sa position désavantageuse, le Cacanadien ne réussit jamais à faire de bons échanges en sa faveur.  Il se ramasse avec des pommes pourries, des rejets indésirables, ou des joueurs finis, dont ne veulent plus les autres clubs.



Et, une chose en attirant une autre, puisque les Canailliens sont des «losers», les bons joueurs ne sont pas intéressés à se joindre à eux, puisque leur but c'est d'avoir une chance de gagner la Coupe Stanley.  Un but impossible à atteindre dans la ville championne...des punaises de lit, et handicapée par une qualité de vie médiocre.  Ces multi millionnaires, -et leur conjointe-, ne veulent pas se faire chier dans cet environnement infect, et dans une culture qui leur est étrangère.

Entre le climat inclément et les taxes exécrables de la cité de la mairesse Valérie Plante; comparés aux états ensoleillés agrémentés de «l'American Way of Life», au sud de la frontière canadienne, c'est facile pour eux de choisir un meilleur endroit que Montréal pour jouer au hockey.

Dans ce contexte, le CH ne peut compter que sur le repêchage de jeunes joueurs junior pour espérer redorer le blason de son organisation, et présenter un club compétitif sur la patinoire.  Les jeunes captifs des sélections malheureuses de Trevor Timmins, n'ont pas eu le choix d'accepter leur mauvais sort.  De plus, ils ont tombés dans une organisation reconnue pour son mauvais système de développement des joueurs...  Double douche froide...

LOUIS  LEBLANC

Comme arguments justifiant l'entrée très méritée de Trevor Timmins dans la section «DÉBÂTISSEURS» du Temple de la Honte du CH, mentionnons seulement quelques choix hâtifs (désastreux) de 1ère et 2e ronde, au cours de ses 19 ans en tête du repêchage du Gros CHiard :
🏒 Cory Urquhart (40e choix, en 2003)
🏒 Maxim Lapierre (61e choix, en 2003)
🏒 Kyle Chipchura (18e choix, en 2004)
🏒 Guillaume Latendresse (45e, en 2005)
🏒 David Fischer (20e choix, en 2006)
🏒 Ben Maxwell (49e choix, en 2006)
🏒 Mathieu Carle (53e choix, en 2006)
🏒 Danny Kristo (56e choix, en 2008)
🏒 Louis Leblanc (18e choix, en 2009)
🏒 Jarred Tinordi (22e choix, en 2010)
🏒 Nathan Beaulieu (17e choix, en 2011)
🏒 Alex Galchenyuk (3e choix, en 2012)
🏒 Sebastien Collberg (33e choix en 2012)
🏒 Dalton Thrower (51e choix, en 2012)
🏒 Michael McCarron (25e choix en 2013)
🏒 Jacob De La Rose (34e choix, en 2013)
🏒 Jayden Struble (46e choix, en 2019)
🏒 Joni Ikonen (58e choix, en 2017)
🏒 Josh Brook (56e choix, en 2017)
🏒 Ryan Poehling (25e choix, en 2017)
🏒 Zachary Fucale (36e choix, en 2013)
🏒 Jacob Olofson (56e choix, en 2018)
🏒 Nikita Scherbak (26e choix, en 2014)
🏒 Noah Juulsen (26e choix, en 2015)
🏒 Jesperi Kotkaniemi (3e choix, en 2018)
🏒 Jesse Ylonen (35e choix, en 2018)
🏒 Logan Mailloux (31e choix, en 2021)

MICHAEL  McCARRON

À chaque année de leur sélection, tous ces choix ratés ont pourtant été vantés par la direction et les propagandistes du CH, ainsi que par les porte-valises du torCHon, c'est-à-dire, les membres de la presse servile de Montréal.  Et même si, de rares fois, Timmins visait juste (par chance), ces choix plus passables, étaient échangés malencontreusement à des clubs prenant avantage des DG pourris du Cacad'CHien.

Heureusement, la presse anglophone de MortYial est un peu moins complaisante que sa contre partie francophone.  Dans un article paru dans «The Montreal Gazette», le 4 février 2020, le journaliste Brendan Kelly qualifie de «terrible» (dans le sens d'atroce) le bilan des repêchages de Trevor Timmins https://montrealgazette.com/sports/hockey/nhl/hockey-inside-out/what-the-puck-poor-drafting-has-handcuffed-canadiens-for-17-years.  

BRENDAN  KELLY


Il affirme que c'est la raison principale des déboires des CHaudrons au cours des deux dernières décennies.  Ce n'est pas moi qui le dit.  Ce n'est pas un Anti-Habs qui l'écrit.  Kelly est assez respectueux du code de déontologie journalistique qui impose un devoir d'objectivité.

Parce qu'il critique parfois leur club chéri, les partisans du CH l'ont identifié comme étant un «hater».  Le scribe de la Gazette s'en défend.  Sans être non plus un «cheerleader» de l'équipe des Molson, comme la vaste majorité des pseudo-journalistes qui «couvrent» (c'est le cas de le dire !) le Canadien, Kelly a à coeur le club de sa ville...

jeudi 30 juin 2022

CANADIEN DE MONTRÉAL : LA PIRE FORMATION DE SON HISTOIRE FAIT SON ENTRÉE AU TEMPLE DE LA HONTE DU CH...



Après la plus désastreuse saison de sa longue histoire de 112 ans, toute l'organisation du Canadien de Montréal, ainsi que les partisans bipolaires de ce minable club de hockey, ne voulaient qu'une chose : oublier au plus vite ce long et angoissant cauchemar.

Mais, au contraire, les Anti-Habs ont vécu une saison de rêve, et ils se sont littéralement gavés des déboires et des événements loufoques qui ont parsemé le chemin de croix des CHaudrons mourialaids.





DES RECORDS  DE  MÉDIOCRITÉ

Cette misérable équipe de 2021-22 a établi cinq pitoyables records de concession : 
  • Le plus de défaites dans une saison 49 (60 si on ajoute les revers en prolongation ou en bris d'égalité).
  • Le moins de victoires : 22.
  • Le moins de points : 55.
  • Le plus de buts contre : 319.
  • Le premier club de la Ligue Nationale de Hockey à terminer 32e (dernier).

Avec ce bilan accablant, et parce que la grande partie de l'état-major du torCHon a été décapité en cette «Annus horribilis», j'ai l'immense plaisir d'accueillir l'ensemble de ce club de merde dans mon TEMPLE DE LA HONTE DU CH (HABS HALL OF SHAME).

LE  CLUB  DE  DINDES  DE  L'ANNÉE

Par le fait même, le Cacanadien hérite du titre de «Club de Dindes de l'année» ("Turkeys Team of the Year") et mérite le trophée «Merde de Dindes» ("Turkeys Shit") ci-dessus.  Félicitations aux malheureux lauréats !

Parmi les faits saillants de cette histoire d'horreur en 2021-22, citons les départs ou les absences de quelques joueurs-clés comme Philip Danault (parti à Los Angeles pour jouer avec les Kings) et Corey Perry (que les Canailliens n'ont pas voulu payer et qui a été embauché par le Lightning de Tampa Bay), le Capitaine Shea Weber (qui s'est déguisé en courant d'air, et qui a depuis été échangé - du moins son contrat - aux Golden Knights de Vegas), et le cerbère Scarey Price (déchu à cause de sa mystérieuse consommation de «substances illicites»).

Les malheurs de la formation de l'incompétent entraîneur Dominique «Dumb» Ducharme (congédié le 9 février 2022, après 37 défaites en 45 matchs) ont d'ailleurs commencé devant le filet avec la disparition pré-saison de Price (7 octobre 2021, programme d'aide de la LNH/AJLNH - Scarey n'a joué que cinq parties en fin de saison, sa seule victoire a été enregistrée au dernier match contre les Panthers de la Floride, qui avaient rayé de l'alignement leurs meilleurs éléments afin de leur donner un repos prolongé avant les séries éliminatoires -).

Ensuite, le gardien substitut Jake Allen a raté la moitié du calendrier en raison de diverses blessures.  Il n'a gagné que neuf des 35 parties auxquelles il a pris part.



Les Cannes à CHiens ont donc dû se débrouiller avec deux portiers des ligues mineures : Samuel Montembeault (huit victoires en 30 joutes, efficacité de .891 et moyenne de buts par match de 3,77); et, le supposé gardien d'avenir des CHieux, Cayden Primeau (un gain en neuf parties, pourcentage d'arrêts de .868 et moyenne de 4,62).  N'ayant visiblement pas confiance en eux, le reste de l'équipe baissait rapidement les bras et les abandonnait rapidement à leur triste sort, sans leur procurer le moindre support...

À un moment donné, le CHicolore ne gagnait plus.  On se souvient d'une séquence de 23 défaites en 25 matchs, et d'une série de neuf échecs consécutifs en temps régulier (une première depuis 80 ans !).  Le jeu d'impuissance du Caca a été tout à fait affreux (31e de la Ligue avec une très faible efficacité de 13,7%).

Autre calamité impensable : le lamentable CH a accordé cinq buts ou plus à pas moins de 31 reprises !  S'il avait fallu que les partisans des clubs adverses obtiennent huit ailes de poulet gratuites à la CAGE chaque fois que leur équipe massacrait les CHaudrons, ils auraient fait des indigestions, après de si nombreux festins !





LA  DIRECTION  DÉCAPITÉE

Avec une telle débandade, la direction hockey du club s'est fait montrer la porte à coups de pieds au cul.  Le 27 novembre 2021, c'est Scott Mellanby, l'adjoint au directeur-général, qui était forcé de remettre sa démission.  Le lendemain, trois autres têtes tombaient : le directeur général Marc «Symphorien» Bergevin; le recruteur en chef très poCHe Trevor Timmins; et Paul Wilson, le vice-président des affaires publiques et des communications.

Le plus drôle c'est par qui tout ce beau monde a été remplacé.  Après une longue recherche, un comité dirigé par le dinosaure Bob Gainey a accouché d'une souris en choisissant Kent Hughes pour remplacer Bergevaurien.  En réalité c'est l'unilingue anglophone Jeff «Gorgo» Gorton, l'ex-DG des Rangers de New York, qui est le nouveau patron des CHieux.  Hughes n'est qu'un porte-parole baragouinant le français pour passer les messages de Gorton.

Pour prendre la relève de Wilson, l'insignifiant président du Caca, Geoff «le mou» Molson, a nommé Chantal Machabée (photo ci-dessous).  Ge-off récompense ainsi, pour sa basse complaisance, la vieille lèche-cul du CHicolore et ex-journaliste de RBS (Réseau Bull Shit).  Dans la même veine, dans une opération cosmétique, pour tenter de redorer l'image de ce club en décrépitude, la hockeyeuse Marie-Philip Poulin a été engagée comme consultante bidon au développement des joueurs.



Curieusement, pour le poste de directeur du recrutement amateur, libéré par l'expulsion de Timmins, le Canayin a été très discret.  On n'en a pas entendu parler.  Ça s'est fait en catimini.  Le choix est bicéphale : le job échoue à Martin Lapointe, le directeur du personnel des joueurs, et à Nick Bobrov (un protégé de Gorton lorsqu'ils étaient tous les deux avec les Rangers).  Vincent Lecavalier (autre coup de marketing du CHiendent), récemment embauché comme conseiller spécial aux opérations hockey, pourrait se mêler du futur recrutement fiasco lui aussi.

On apprenait également, le 28 juin dernier, que l'entraîneur des gardiens de but, Sean Burke, quittait le torCHon (pour les Golden Knights de Las Vegas).  Il avait succédé à Stéphane Waite, liquidé en mars 2021.  Le coach adjoint Luke Richardson prend aussi le large en devenant l'entraîneur en chef des Blackhawks de Chicago.  Décidément, un fait maison nette chez le Caca.  Mais ce sera en vain...

UN  COACH  DE  PEE-WEE

Enfin, la cerise sur le sundae, toujours histoire de compléter son country club de petits «namis», Gorton a choisi Martin «Tintin» St-Louis, un coach de pee-wee, pour occuper le poste d'entraîneur en chef, derrière le banc délabré de l'équipe.


Outre le manque d'expérience du coach et les doutes quant à sa capacité de diriger un club de la LNH, il y a un paquet de questions sans réponse en vue de la prochaine saison.  Une prochaine campagne qui risque de ressembler à la précédente.  Certes, le Caca a une grande quantité de choix de repêchage, mais l'encan de cette année est de piètre qualité, et le piteux club de la métropauvre ne peut espérer de secours immédiat de ses prochaines sélections chez les joueurs amateurs.

La situation devant le filet est encore incertaine avec un Price qui est probablement fini, et une absence de relève adéquate dans les mineures.  Jake Allen semble devenu fragile à force de subir des blessures, et il ressemble de plus en plus à un deux de pique.

En défensive, Jeff Petry veut sacrer son camp à tous prix.  Ça laisse seulement Alexander Romanov et Joel Edmundson comme arrières potables chez le Gros CHiard.

En avant, la qualité fait tout autant défaut.  Les pygmées Nick Suzuki et Cold «Coffee» Caufield font des flammèches en attaque mais sont épouvantables en défensive.  Que faire du bois mort ou en décomposition, avec les Paul Byron, Mathieu Perreault, Jonathan Drouin, Brendan Gallagher et autres Joel Armia ?



Les supposés francs-tireurs Mike Hoffman (15 buts) et Josh Anderson (19 buts) ont terriblement déçu la saison passée.  Peuvent-ils ou veulent-ils rebondir ?  Ou cèderont-ils encore à l'apathie générale qui mine ce club pourri, dans un bidonville répugnant, baignant dans une culture qui leur est étrangère ?

Bref, la situation catastrophique du Cacanadien est tellement rose pour les Anti-Habs, que l'on se demande comment ceux-ci pourront éviter une dilatation excessive de la rate dans les années qui viennent !