L'année 2008-2009 a marqué le 100e anniversaire des Connardiens. Et comment ! Mais ce sont les Anti-Habs qui ont le plus fêté ! En fait, les fefans ont non seulement hué et descendu le club de broches à foin de l'Américain Uncle George Gillett, ils ont reçu le gâteau d'anniversaire du 100e en pleine face ! Ce fut pour le moins une saison fertile en émotions. Nous, les Anti-Habs, n'aurions pas pu écrire un meilleur scénario. Dire que nous avons été gâtés serait un euphémisme.
La première grosse farce juteuse qui nous a fait rire durant l'été précédant la saison, c'est le contrat de 4,5 millions de dollars consenti par Bob "Grosnez" Gainey à Big Fat Georges Laraque. À $ 18 000 la livre, Laraque s'est révélé un méchant jambon avarié. Cette grossière erreur de Gainouille lui a sauté dans la face et il a dû honteusement racheter le contrat de Big Georges.
Durant cette mémorable campagne du centenaire, nous avons assisté au défilé loufoque des vauriens provenant de la supposée pépinière de talents du club école des Bulldogs de HAMilton. Nous avons vu foirer de prétendus espoirs tels que le grand tarla Ryan O'Byrne (avec sa rocambolesque histoire de vol de saccoCHes et le but marqué dans son propre filet), le boutonneux Max Pacioretty (aussi bon patineur qu'un poisson hors de l'eau), l'insignifiant Ben Maxwell (qui, à part quelques bâtons, n'a rien cassé), l'insipide Yannick Weber (aussi perdu dans sa zone que le français à Mourial), la grosse nouille Matt d'Agostini (aussi pâte molle que les mets italiens que sa mère prépare), le sans dessein Kyle Chipchura (que je remercie pour avoir contribué comme monstre à mon spécial Halloween de cette année-là), le gros "punching bag" Gregory Stewart (-photo ci-dessous- qui a donné son sang pour le torCHon en mangeant des volées contre des batailleurs bien plus petits que lui).
À la fin d'une autre saison de misère, pour excuser ses mauvaises décisions, Bob l'Éponge a fait rejouer le disque usé des blessures. Lorsque tu engages des joueurs frêles et vieux comme Robert Lang; lorsque tu donnes le gros lot à un "softy" comme Alex Tanguay, quand Mike Komisarek est obligé de se battre contre Milan Lucic, tu dois t'attendre à ce qu'ils fassent dur, qu'ils fassent défaut ou qu'ils fassent patate... Autrement dit, quand tu n'es pas équipé pour faire la guerre, quand tu n'es pas de taille, tu tombes au combat et tu te fais écraser...
Mais à l'aube de la saison, avec une campagne publicitaire monstre axée sur le thème des super héros des bandes dessinées, les fefans, prétentieux comme d'habitude, gonflaient leurs muscles comme Olive, la femme de Popeye. En radotant, comme des perroquets, que leurs p'tits gars avaient fini premiers au classement de l'Est la saison précédente. L'année du centenaire était donc remplie de promesses et ne pouvait pas être couronnée par autre chose qu'une 25e Coupe Stanley. Une récompense à la hauteur de leurs attentes démesurées.
En attendant, que vous alliez au dépanneur du coin, à la pharmacie ou au Supermarché, vous vous enfargiez dans les tonnes de camelote aux couleurs du Cacad'CHien et de ce 100e anniversaire de merde : livres, chandails "vintage" ressemblant à des enseignes de barbiers ou aux uniformes de prisonniers des Frères Dalton, rondelles, coussins, verres, poupées, fefanions et autres dizaines de "cossins" de tous genres...
Pour cette saison spéciale, comme pour conforter leurs fans bipolaires dans leurs folles croyances de Coupe Stanley, les CHieux connaissent un départ-canon, leur meilleur début de campagne des 25 dernières années. Pendant que les fefans s'emballent et clament que c'est le retour à la belle époque des Glorieux, les Anti-Habs ne paniquent pas et soulignent que le calendrier favorise le torCHon en première moitié de campagne. "Foutaise", réplique les fefans fanfarons, qui, le 22 novembre, à l'occasion du retrait du chandail no 33, célèbrent le retour au bercail de Patrick Roy, l'enfant prodigue qu'ils ont pourtant chassé de Mourial comme un pestiféré, en 1995.
Autre épisode grotesque, celui du match des étoiles qui a eu lieu au Centre PouBell au mois de janvier 2009. Après l'émeute d'avril 2008, les fefans démontrent une nouvelle fois à quel point ils sont caves. Ils triCHent en trafiquant le mode de scrutin électronique qui doit déterminer quels joueurs participeront à la classique annuelle. À un moment donné, c'est presque la moitié des CanaDindes qui risquent d'être élus parmi les étoiles. Les autorités de la Ligue Nationale se réveillent et mettent fin à la "fraude" commise par les fêlés du CHaudron.
Quatre CHieux trouvent quand même leur place parmi les joueurs d'élite qui disputent le match. Le beau Alex Kovalev (avec Lang sur la photo ci-dessus), à son meilleur quand ce n'est pas forçant et qu'il n'y a pas de mises en échec, récolte le titre de MVP sous les acclamations des fefans, tous en pâmoison aux pieds de l'Artiste...
Comme les Anti-Habs l'avaient prédit, le calendrier se corse en seconde moitié de saison et c'est la catastrophe qui s'abat sur les Cannes à CHiens. Ils sont littéralement ensevelis sous la merde. Les blessures ainsi que les défaites s'accumulent comme les vidanges et les sans abri dans les rues de Mourial, bidonville le plus corrompu et le plus sale d'Amérique du Nord. Par surcroît, les rumeurs de scandales (détournements de mineurs, viols, agressions sexuelles, histoires de drogue et de beuveries) s'amplifient et tournent comme des vautours autour des joueurs de la Guenille.
La direction du club de Gillett passe en mode "damage control", exerce son influence ($$$) de religion d'État et réussit à étouffer les scandales et les poursuites judiciaires. Sauf dans le cas mêlant Hamrlik et les frères Kostitsyn à des relations malhonnêtes avec un individu appartenant au monde interlope moronréalaid (histoires de vodka et d'escortes, entre autres choses pas très catholiques).
Pendant tout ce temps, les lèche-culs de la Presse vendus au CH (RBS entre autres) paniquent et affichent leur visage de fin du monde. Pour rien... Comme toujours "Halte là, Halte là, Halte là, les CanaCHiens, les CanaCHiens sont là" et arrêtent l'hémorragie. La mafia du CHicolore achète le silence des personnes qui en savent trop et on limite les dégâts. Pas sur la patinoire cependant... Du 20 janvier au 19 février, le torCHon essuie 12 revers en 15 parties. C'est la déroute et la débandade... Encore une fois ! Le 9 mars, après beaucoup de grenouillage et de couillonnage, le coach Guy Carbonneau est congédié par Gainey qui, quelques semaines auparavant avait pourtant affirmé que la nomination de Carbo comme entraîneur était le meilleur coup qu'il avait réussi comme DG du CH !
Entre-temps, c'est la guerre entre fefans frustrés et Anti-Habs gouailleurs sur le site internet "ANTI-HABS". Ne pouvant plus supporter la descente aux enfers de leurs pourris et les railleries des Anti-Habs, les fefans bipolaires paralysent le blogue en l'inondant ("floading") de messages et d'images obscènes. Écoeuré, l'administrateur du blogue abdique et saborde son site. C'est alors que je décide que ça ne se passera pas comme ça. Que les Anti-CHieux ne serons pas condamnés au silence. Je crée "CH comme dans torCHon" le 13 mars 2009 pour continuer de défendre le point de vue des Anti-Habs. Sympathique à notre cause, le célèbre journaliste Réjean Tremblay me donne un bon coup de main en mentionnant le nom de notre blogue à l'émission de radio de Paul Arcand. Les lecteurs affluent par milliers !
Pendant ce temps, Bob Gainey prend la relève derrière le banc de son club en perdition. Après un début victorieux, il encaisse cinq défaites de suite. Il botte le derrière de Kovalev et le place sur un trio avec Tanguay et Koivu. Cette nouvelle ligne d'attaque fait des flammèches et permet aux CHiendent de se relever. Même en perdant ses quatre dernières parties, le torCHon sauve sa saison par la peau d'UNE dent en entrant dans les séries éliminatoires par la porte du sous-sol.
Mais le soulagement et la joie des fefans sera de courte durée. En première ronde des séries, les Bruins de Boston ne font qu'une bouchée des Habs en les balayant en quatre petits matchs par un score combiné de 17 à 6. Komisarek est encore bafoué par Lucic. Les fefans huent leur club poCHe et se moquent de l'infortuné Scary Price après un arrêt de routine dans le dernier match. Crucifié, Jesus Price lèvent les bras au ciel en faisant son imitation de Patrick Roy.
Les Anti-Habs n'en reviennent pas. Pleurant de rire, ayant du mal à reprendre leur souffle, ayant les cuisses rouges à force de taper dessus, c'est à leur tour d'avoir les bras en l'air et de festoyer (en criant dérisoirement "Olé, Olé, Olé") avec les partisans des Bruins.
Oui mes amis, on se souviendra longtemps de cette ridicule année du centenaire et de ses cérémonies sans fin qui mériteront au torCHon le titre de 2008-2009 TURKEYS OF THE YEAR, du prestigieux magazine SPORTS ILLUSTRATED. Signe des temps et des décades à venir, les Canayens traversent donc leur première décennie sans Coupe Stanley. Jamais dans l'histoire aura-t-on vu autant de fefans honteux portant le sac de papier brun sur la tête ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !
vendredi 18 décembre 2015
samedi 1 août 2015
SAVOIR COMMENT S'Y PRENDRE...C'EST-À-DIRE, PAS COMME LA DIRECTION DU CACANADIEN DE MORTYIAL !
Peu importe le domaine de travail, la gestion du personnel est parfois une tâche complexe et délicate. En certaines circonstances, ne pas savoir comment s'y prendre, agir maladroitement, peut vous exposer aux sarcasmes, à l'embarras, à des situations gênantes qui vous font très mal paraître. Vous perdez la face et vous perdez le respect de votre entourage. Un peu comme le montre la photo ci-haut, où on voit des cheerleaders à l'entraînement, pas trop certaines de la façon qu'elles doivent procéder pour réussir une figure imposée ou une pirouette... Ça semble pour le moins laborieux et embarrassant.
Ce n'est pas d'hier que les CHaudrons n'ont pas le tour avec leurs employés. Sans remonter au déluge, les moins jeunes se souviendront que Henri Richard (photographié avec son célèbre frère Maurice, ci-dessus) avait été humilié par son coach Al McNeil durant la série finale de la Coupe Stanley en 1971. Laissé sur le banc lors d'un match crucial contre Chicago, le "Pocket Rocket", un homme renfermé, taciturne, quasiment muet, avait explosé devant les journalistes après avoir été piqué au plus profond de son orgueil par l'attitude de son pilote.
Le petit numéro 16, recordman pour le nombre de Coupes Stanley gagnées (11) et futur membre du Temple de la Renommée du Hockey, avait été nommé Capitaine des Glorieux au début de cette saison-là, mais il semblait bien qu'il n'avait pas mérité le respect du coach McNeil. Ce soir-là, Richard, à l'étonnement de tout le monde car il parlait rarement en public, traite son coach de "pire incompétent que j'ai jamais vu". Une déclaration-choc, une bombe qui détruira d'ailleurs la carrière d'entraîneur de McNeil. S'inscrivant parmi les légendes du Canaillien, Richard fera gagner son club au 7e match de cette finale de 1971, en enfilant deux buts dans un gain de 3-2 qui assurait une autre Coupe Stanley aux représentants moronréalaids.
Quelques années plus tard, avant le match inaugural de la saison 1974-75, alors que Richard amorçait la dernière de ses 20 années de carrière, tous ses exploits passés (plus de 1 000 points amassés et une confidence de son père qui lui avait dit qu'il était meilleur que son grand frère Maurice !) ne l'empêchèrent pas de subir un autre affront de la part de la direction des CHieux.
Lors de la séance d'échauffement avant la partie disputée au Forum de Montréal, Henri patine en rond et, comme d'habitude, il jette un coup d'oeil au tableau indicateur montrant les alignements des deux formations qui s'affrontent. À sa grande stupéfaction, il se rend compte qu'il ne fait pas partie de l'alignement officiel fourni par l'entraîneur du CH, Scotty Bowman. Le vétéran de 38 ans ne le prend pas du tout et affirme sans ambages que des choses comme ça, ça ne se fait pas ! Il aurait pu accepter d'être laissé de côté par le coach, mais pas de cette façon-là, pas en l'apprenant devant ses coéquipiers et ses partisans, par le tableau indicateur, avant le match d'ouverture par-dessus le marché !Il y a eu bien d'autres exemples de l'incurie des patrons du torCHon. Mentionnons seulement les retraits "tardifs" des chandails de Émile "Butch" Bouchard et de Bernard "Boum Boum" Geoffrion. Et les "affaires malheureuses" de Guy Lafleur et de Patrick Roy qui ont connu des fins atroces dans l'uniforme des Caca. Lafleur, écarté comme un malappris par son entraîneur Jacques Lemaire, et Roy, malmené par Mario Tremblay qui l'a exposé volontairement aux moqueries des fefans dans un match resté mémorable, ont tous les deux mis beaucoup d'années avant de pardonner leur mauvais traitement aux gens de l'organisation mourialaise. "Flower", l'idole de tout un peuple, qui a heureusement pu terminer sa carrière dans la dignité en se retirant dans l'uniforme fleur-de-lysé (photo) ne s'est jamais gêné pour critiquer durement le tricolore jusqu'à tout récemment.
La petite histoire des CHieux nous apprend que même leurs meilleurs porte-couleurs, ceux qui ont couvert de gloire leur ville en gagnant plusieurs Coupes Stanley, parfois en sacrifiant leur santé, n'ont pourtant pas été épargnés par l'ingratitude de leurs patrons et de leurs fans. Ainsi, au début de la saison 70-71, après que le Canadien ait raté les séries pour une rare fois en 1969-70, le grand Jean Béliveau, entreprenant la dernière année de son incroyable carrière, fut hué copieusement par les fefans... C'est vous dire...
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mardi 2 juin 2015
2006-2007 : UNE SAISON PARTICULIÈREMENT JOUISSIVE POUR LES ANTI-HABS !
Au hockey, comme dans le domaine des vins, certaines années offrent de grands crus. La saison 2006-07 du torCHon en fut tout un pour les Anti-Habs ! Durant la saison morte (été 2006), Bob "La Gaffe" Gainey se creuse le coco pour livrer la marCHandise puisqu'il est rendu à l'ANNÉE IV de son plan quinquennal imaginaire. Tout ce qu'il arrive à faire, c'est trois transactions stupides qui mettront ses CHaudrons encore plus dans la merde. Il envoie d'abord Richard Zednik aux Capitals de Washington (7-14-21 en 42 p.j. avec les Caps et NYI) pour aller chercher Mike Johnson (11-20-31 en 80 p.j.) des Coyotes de Phoenix. Il donne un contrat de deux ans à un autre citron, le joueur autonome russe Sergei Samsonov (à gauche sur la photo, 9-17-26 en 63 p.j. avec le CH). Puis, en septembre le lymphatique DG des CHieux se couvre de ridicule en échangeant Mike Ribeiro (18-41-59) aux Stars de Dallas contre une super poire du nom de Janne Niinimaa (à droite sur la photo, 0-3-3 en 41 p.j. fiche +/- de -13).
C'est aussi cette année-là que Guimauve Latendresse (ci-dessous), 19 ans, réussit à percer l'alignement du CHiendent (16-13-29, fiche de +/- de -20). Pendant plus de trois années, par son jeu erratique et poche dans l'uniforme moronréalaid, il sera une intarissable source de moquerie pour les Anti-Habs. À coup sûr, c'est un candidat de choix pour le «Habs Hall of Shame» ! Il aura eu le don de se mettre souvent les pieds (ou les patins) dans les plats et...le doigt dans le nez !
Un nouvel entraîneur, Guy Carbonneau (ci-dessous), donne de grands espoirs aux fefans. Il connaît des débuts épatants. Vers la fin du mois de décembre, la Guenille est 3e dans l'Est avec un dossier de 21-9-5. Les fans bipolaires sont en liesse et veulent que Carbo soit canonisé. Mais comme cela fut souvent le cas dans les années 2000, ils s'excitent pour rien. Ils auraient dû apprendre, que quand le club s'élève temporairement, c'est pour retomber habituellement encore plus bas. C'est ainsi qu'au début de l'année 2007, un virus (anti-habs ?) décime la formation bleu blanc CHieuse et contribue à lui faire prendre une méchante débarque ! Durant les deux premiers mois de l'année, les CanaDindes n'enregistrent que onze victoires en 28 parties et dégringolent de la 3e à la 8e position au classement de l'Est.
Carbonneau, tout comme Latendresse, joue du doigt. Mais dans son cas, c'est pour faire des doigts d'honneur aux arbitres, aux journalistes et à quelques-uns de ses vauriens sur patins... N'hésitant pas à les planter devant les caméras et les représentants des médias, cette attitude honnête lui vaudra un congédiement qui sera définitif puisque nul directeur-général n'osera l'engager par la suite...
Mais revenons-en à cette fameuse campagne 2006-2007. Coup de CHance malgré tout : le peu fiable gardien français du Cacanadien, Cristobal Huet, se blesse à une cuisse le 14 février. On fait alors monter du club ferme la recrue Jaroslav Halak qui, du 10 mars au 3 avril, semble sauver la saison du CHicolore en signant neuf gains en onze matchs. Le 5 avril, à deux parties de la fin du calendrier régulier, le torCHon devance Toronto par un point en 8e place. Les fefans ont confiance qu'une participation aux séries éliminatoires est dans la poche. C'était compter sans la réputation de "CHokeux" de leurs favoris. Leur club poCHe perd d'abord 3-1 contre les Rangers.
Deux jours plus tard à Toronto, la Flanelle Sale doit donc gagner pour éviter que ses joueurs changent leurs bâtons de hockey pour des bâtons de golf. En fin de deuxième période, les nombreux fefans qui assistent à la rencontre sont en délire et aussi arrogants qu'à l'accoutumée puisque leurs porte-couleurs mènent au pointage de 5-3. Mais les Leafs marquent un but avant la fin de l'engagement. En troisième, c'est la catastrophe... Les "CHokeux" sont fidèles à leur réputation et sont impuissants à contenir les attaques des Maple Leafs. Ces derniers plantent les derniers clous dans le cercueil du torCHon en l'emportant 6-5 ! Les Anti-Habs exultent encore et encore ! Les fefans envahissent les pharmacies pour se procurer des anti-dépresseurs...
Quelle joie de voir les CorniCHons de Mourial quitter la patinoire tout penauds, la queue et la honte entre les jambes... pendant que les Anti-Habs dansent dans les rues ou dans leur salon ! «Sweet, sweet, sweet memories» ! Autre confirmation que Canayen égalait toujours médiocrité ! La tradition continuait ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !
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