lundi 20 juin 2016
CE QUE LES JOUEURS DU CACANADIEN PENSENT VRAIMENT DE LEURS TARÉS DE FEFANS...
Les fefans du Cacanadien de MortYial ont rapidement été intronisés dans mon Temple de la Honte du CH (Habs Hall of Shame). Ça s'imposait d'emblée ! Ils font honte à tous les Québécois et à tous les citoyens canadiens par leur comportement d'êtres non civilisés et vulgaires. Ils sont caves chez eux, au Centre PouBell, mais ils le sont encore davantage quand ils visitent les arénas des autres équipes de la Ligue Nationale de Hockey. Ils sont insolents, arrogants.
Ils gueulent comme des cochons qu'on égorge, se saoulent, bousculent leurs voisins, renversent de la bière sur eux. Quand ils ne leur dégueulent pas carrément dessus. Ce qui provoque d'ailleurs parfois des batailles dans les estrades. Et c'est sans parler des émeutes et du vandalisme dont ils se rendent coupables régulièrement.
Cependant, la pire conséquence de leur conduite répréhensible est probablement le mal qu'ils font à leur pauvre conjointe sur qui ils se défoulent quand leur club de merde ne cesse de perdre et de faire rire de lui.
Les tarés de fefans inventent même des façons d'être encore plus méprisables. Comme cette fois (photo ci-dessus), où, à Boston, un crétin de fefan a enculé la statue de Bobby Orr devant l'aréna des Bruins. Quel cabochon ! Faut-il en rire ou en pleurer ? Assez déconcertant et gênant merci ! Et que penser aussi de cet autre imbécile moronréalaid qui avait lancé une banane à Kevin Weeks, un gardien de buts noir ?!
Et si ce n'étaient que les Anti-Habs qui les traitaient d'idiots et de sans génie... Mais non ! Leurs propres joueurs et les dirigeants du torCHon se mettent de notre bord aussi en disant que les fefans sont des crasseux, des trous de cul et une honte pour la ville de Montréal et le Québec tout entier.
Oh... 99,5% du temps, les CHieux et les membres de leur état major sont "politically correct" lorsqu'ils parlent de leurs "fidèles" partisans. Ils louent leur loyauté et leur intensité. Mais en quelques rares occasions, la vérité sort, sur ce qu'ils pensent vraiment de cette bande d'abrutis et de colons.
Par exemple, le journal LE DEVOIR rapportait les paroles de l'ex-entraîneur des gardiens de buts du CH, Roland Melanson (à gauche sur la photographie sous le titre de ce billet), dans son édition du 25 avril 2009. Il s'exprimait au nom des joueurs après la crucifixion de Jesus Price (photo ci-dessus) lors du dernier match : «Malheureusement, il y a 1 500 personnes, qu'on appelle "la crasse", qui ne méritent pas d'être là, qui n'ont pas de classe. Ça donne une mauvaise image à la ville, une mauvaise image à l'équipe» (...) «Les joueurs voient ça et se demandent pourquoi ils se mettraient dans cette position-là ?»
Price avait fait son imitation de Patrick Roy (quand, à son dernier match dans l'uniforme du Caca, il avait levé les bras en l'air après un arrêt de routine souligné par des applaudissements dérisoires de la foule de Mourial, lors d'une dégelée contre les Red Wings de Détroit). Le soir de l'élimination de sa gang de pourris en première ronde des séries éliminatoires, ce printemps-là, Scary avait réagi de la même façon en pareilles circonstances.
Quelques jours plus tard la direction du Cacad'CHien congédiait Melanson pour avoir dit tout haut ce que les joueurs pensaient tout bas : les fefans, du moins un grand nombre d'eux, sont des sales et des pas de classe... Des sans dessein et de mauvais supporteurs qui se retournent contre leur équipe quand ça va mal...
Une journée ou deux avant la fameuse déclaration de Melanson, le gérant général Bob Gainey (photo «légèrement modifiée» ci-dessus) en avait rajouté sur le tas de marde. Ses propos avaient été recueillis sur radio-canada.ca les 22 et 23 avril 2009 : "L'entraîneur-chef a du coup servi un avertissement aux juges dans les estrades. «Les autres équipes attendent simplement qu'on hue un joueur au point de le sortir de Montréal. Ensuite, il faut jouer contre lui». Parlez-en à Patrick Roy et, plus près de nous...à Michael Ryder ! Gainey a également parlé d'un défenseur qu'il a bien connu à Dallas. «Je me souviens de Darryl Sydor. Les Kings l'avaient repêché au 1er tour (7e au total en 1992) et les partisans ont rapidement été sur son dos. Ils le huaient constamment, c'étaient des trous de cul (assholes) impolis et odieux. Les Kings l'ont échangé. Avec les Stars, il est devenu un membre important de notre équipe et de notre avantage numérique».
Georges Laraque (ci-dessus) en avait remis sur le tas de fumier (canoe.ca le 22 avril 2009). «On dit qu'on a les meilleurs partisans. C'est vrai que le Centre Bell est toujours rempli. Mais des bons fans, c'est plus que ça (...) Ils crient "Carbo, Carbo, Carbo" même si les joueurs donnent tout ce qu'ils ont durant le match. On ne scande pas un nom pour embarrasser un coach et les joueurs (...) Moi, ça ne me dérange pas. Je me suis fait ramasser toute l'année. Mais je sais que le Canadien ne peut attirer de joueurs autonomes».
Alors, les Anti-Habs le crient, Réjean Tremblay l'a écrit, le DG du torCHon le proclame, les joueurs et les entraîneurs l'affirment : les fefans qui sévissent et se dévissent au Centre PouBell, sur des blogues, ou sur les lignes ouvertes à la radio, sont des trous de cul, des losers, de la crasse et des "pas de classe".
L'année précédente, en 2008, grâce à des diffuseurs comme YouTube, les images de l'émeute de fefans de Montréal avaient fait le tour du monde et les avaient fait passer pour une bande de sauvages. Que voulez-vous que j'ajoute à ça ? Le bidonville crasseux d'Haïti-Nord, maudite souille à coCHons !
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