Pour mesurer le coût de la vie et le comparer entre divers pays, on peut utiliser plusieurs variables économiques. Un moyen original de faire cette opération c'est aussi de relever le prix d'un "big mac" ou le prix d'une bière à l'échelle internationale. Et si on appliquait cela à la Ligue Nationale de Hockey ? Si on comparait combien il en coûte aux amateurs de hockey pour acheter une bière dans l'un ou l'autre des trente arénas à travers la Ligue ? Ça nous donnerait une idée sur l'identité des propriétaires de franchise de la LNH qui exploitent le plus leurs clients. Et si on charge une somme exorbitante pour la bière, on peut se douter que le prix des autres produits dérivés (camelote comme chandails, casquettes, fanions et autres bébelles) est à l'avenant.
Alors qui vend sa bière le plus cher dans la LNH ? Vous l'aurez deviné, ce sont les propriétaires majoritaires du torCHon, les frères Molson (voir tableau ci-dessous). Une belle unité de mesure pour établir qui sont les pires crosseurs de la Ligue. Le prix de la bière vendue aux fefans du Caca est de 75¢ l'once, deux fois plus élevé que celui demandé aux spectateurs assistant aux matchs des Blue Jackets de Columbus.
Bien que la brasserie Molson soit passée sous contrôle américain lors de la fusion avec Coors (siège social à Denver au Colorado) en 2005, la famille Molson détient encore le tiers des voix au conseil d'administration. D'où leur intérêt à demander le gros prix pour la bière vendue aux fefans au Centre PouBell. Mais, d'un autre côté, s'ils faisaient une faveur à leurs partisans en leur vendant le houblon au prix du gros, il y aurait beaucoup trop de monde ivre aux matchs des CHaudrons. Les fefans ont déjà assez les facultés affaiblies lorsqu'ils sont à jeun ! Vendez-leur la bière à rabais et ce sera la catastrophe ! Mieux vaut limiter leur consommation en leur chargeant le gros prix. L'argent rentre pareil et on limite les dégâts !
On a déjà interrogé la direction des CHaudrons au sujet du prix prohibitif de la bière dans l'antre des Molson. Les porte-parole des exploiteurs des fefans avaient répondu que leurs prix étaient comparables à ceux des autres établissements publics où on vend des boissons alcoolisées. Selon ce que j'en sais, cette affirmation serait mensongère (comme bien d'autres; avec les Molson, on est habitué aux mensonges et aux demi-vérités). On m'a dit que la bière se vendait $ 8 dans les bars. Si les Molson la vendent effectivement près de $ 12, ça fera une "petite" différence de 50%... Rien que ça... "Liar, liar, pants on fire" comme disent les Anglais...
On a aussi interrogé des fefans au sujet du vol dont ils sont victimes quand ils se paient une bière au Centre PouBell. L'un d'eux, encore plus cave que les autres, a affirmé avec fierté qu'il continuerait à s'acheter de la bière Molson même si on la lui vendait $ 20 le verre ! Quand tu es dopé du Cacanadien, tu ne l'es pas à peu près ! Beau cas de lavage de cerveau !
Même en passant par-dessus tous les autres tours de passe-passe que les Molson emploient pour berner et plumer leurs nigauds de fans, le prix qu'ils leur fait payer leur pisse de cheval suffit amplement comme scandale leur ouvrant toute grande les portes du "Habs Hall of Shame". Bien sûr, puisqu'ils sont des bandits de première classe, ils sont admis à titre de membres émérites. C'est naturel ! Levons nos verres à cela !
Les fefans du Cacanadien de MortYial ont rapidement été intronisés dans mon Temple de la Honte du CH (Habs Hall of Shame). Ça s'imposait d'emblée ! Ils font honte à tous les Québécois et à tous les citoyens canadiens par leur comportement d'êtres non civilisés et vulgaires. Ils sont caves chez eux, au Centre PouBell, mais ils le sont encore davantage quand ils visitent les arénas des autres équipes de la Ligue Nationale de Hockey. Ils sont insolents, arrogants.
Ils gueulent comme des cochons qu'on égorge, se saoulent, bousculent leurs voisins, renversent de la bière sur eux. Quand ils ne leur dégueulent pas carrément dessus. Ce qui provoque d'ailleurs parfois des batailles dans les estrades. Et c'est sans parler des émeutes et du vandalisme dont ils se rendent coupables régulièrement.
Cependant, la pire conséquence de leur conduite répréhensible est probablement le mal qu'ils font à leur pauvre conjointe sur qui ils se défoulent quand leur club de merde ne cesse de perdre et de faire rire de lui.
Les tarés de fefans inventent même des façons d'être encore plus méprisables. Comme cette fois (photo ci-dessus), où, à Boston, un crétin de fefan a enculé la statue de Bobby Orr devant l'aréna des Bruins. Quel cabochon ! Faut-il en rire ou en pleurer ? Assez déconcertant et gênant merci ! Et que penser aussi de cet autre imbécile moronréalaid qui avait lancé une banane à Kevin Weeks, un gardien de buts noir ?!
Et si ce n'étaient que les Anti-Habs qui les traitaient d'idiots et de sans génie... Mais non ! Leurs propres joueurs et les dirigeants du torCHon se mettent de notre bord aussi en disant que les fefans sont des crasseux, des trous de cul et une honte pour la ville de Montréal et le Québec tout entier.
Oh... 99,5% du temps, les CHieux et les membres de leur état major sont "politically correct" lorsqu'ils parlent de leurs "fidèles" partisans. Ils louent leur loyauté et leur intensité. Mais en quelques rares occasions, la vérité sort, sur ce qu'ils pensent vraiment de cette bande d'abrutis et de colons.
Par exemple, le journal LE DEVOIR rapportait les paroles de l'ex-entraîneur des gardiens de buts du CH, Roland Melanson (à gauche sur la photographie sous le titre de ce billet), dans son édition du 25 avril 2009. Il s'exprimait au nom des joueurs après la crucifixion de Jesus Price (photo ci-dessus) lors du dernier match : «Malheureusement, il y a 1 500 personnes, qu'on appelle "la crasse", qui ne méritent pas d'être là, qui n'ont pas de classe. Ça donne une mauvaise image à la ville, une mauvaise image à l'équipe» (...) «Les joueurs voient ça et se demandent pourquoi ils se mettraient dans cette position-là ?»
Price avait fait son imitation de Patrick Roy (quand, à son dernier match dans l'uniforme du Caca, il avait levé les bras en l'air après un arrêt de routine souligné par des applaudissements dérisoires de la foule de Mourial, lors d'une dégelée contre les Red Wings de Détroit). Le soir de l'élimination de sa gang de pourris en première ronde des séries éliminatoires, ce printemps-là, Scary avait réagi de la même façon en pareilles circonstances.
Quelques jours plus tard la direction du Cacad'CHien congédiait Melanson pour avoir dit tout haut ce que les joueurs pensaient tout bas : les fefans, du moins un grand nombre d'eux, sont des sales et des pas de classe... Des sans dessein et de mauvais supporteurs qui se retournent contre leur équipe quand ça va mal...
Une journée ou deux avant la fameuse déclaration de Melanson, le gérant général Bob Gainey (photo «légèrement modifiée» ci-dessus) en avait rajouté sur le tas de marde. Ses propos avaient été recueillis sur radio-canada.ca les 22 et 23 avril 2009 : "L'entraîneur-chef a du coup servi un avertissement aux juges dans les estrades. «Les autres équipes attendent simplement qu'on hue un joueur au point de le sortir de Montréal. Ensuite, il faut jouer contre lui». Parlez-en à Patrick Roy et, plus près de nous...à Michael Ryder ! Gainey a également parlé d'un défenseur qu'il a bien connu à Dallas. «Je me souviens de Darryl Sydor. Les Kings l'avaient repêché au 1er tour (7e au total en 1992) et les partisans ont rapidement été sur son dos. Ils le huaient constamment, c'étaient des trous de cul (assholes) impolis et odieux. Les Kings l'ont échangé. Avec les Stars, il est devenu un membre important de notre équipe et de notre avantage numérique».
Georges Laraque (ci-dessus) en avait remis sur le tas de fumier (canoe.ca le 22 avril 2009). «On dit qu'on a les meilleurs partisans. C'est vrai que le Centre Bell est toujours rempli. Mais des bons fans, c'est plus que ça (...) Ils crient "Carbo, Carbo, Carbo" même si les joueurs donnent tout ce qu'ils ont durant le match. On ne scande pas un nom pour embarrasser un coach et les joueurs (...) Moi, ça ne me dérange pas. Je me suis fait ramasser toute l'année. Mais je sais que le Canadien ne peut attirer de joueurs autonomes».
Alors, les Anti-Habs le crient, Réjean Tremblay l'a écrit, le DG du torCHon le proclame, les joueurs et les entraîneurs l'affirment : les fefans qui sévissent et se dévissent au Centre PouBell, sur des blogues, ou sur les lignes ouvertes à la radio, sont des trous de cul, des losers, de la crasse et des "pas de classe".
L'année précédente, en 2008, grâce à des diffuseurs comme YouTube, les images de l'émeute de fefans de Montréal avaient fait le tour du monde et les avaient fait passer pour une bande de sauvages. Que voulez-vous que j'ajoute à ça ? Le bidonville crasseux d'Haïti-Nord, maudite souille à coCHons !
«Nous avons les meilleurs partisans du monde». On entend souvent cette sornette quand les dirigeants ou les joueurs du Cacanadien s'expriment au sujet de leurs supporteurs. Mais qu'en est-il au juste ? Qu'est-ce qu'un bon fan ?
C'est celui qui encourage son club de sport favori dans les bonnes ou les mauvaises périodes qu'il traverse. Dans la victoire, ou lors des conquêtes de son équipe, il manifeste certes avec joie et enthousiasme, mais il reste civilisé et digne. Il ne va pas être arrogant et grossier. Il va éviter de stigmatiser les partisans du club vaincu. Il ne va pas célébrer une victoire en séries éliminatoires, en vandalisant les lieux où il se trouve.
C'est pourtant ce que font les fefans du torCHon de Moronréal. Rappelons-nous les émeutes dans les rues de la métropauvre en 2008. Des images de pillage, d'incendie criminel, de violence, d'actes de barbarie, qui ont été retransmises dans le monde entier et qui, par ricochet, ont couvert de honte les habitants de tout le Canada. Tout ce gâchis et ces atteintes à notre réputation parce que des fanatiques des CHaudrons, des crapules et des tarés mal dégrossis, associés à la racaille et aux gangs de rues, ne savent pas vivre et soulagent leurs bas instincts à la moindre occasion.
Dans la défaite, ou durant les temps très difficiles, le bon partisan va continuer de soutenir son équipe. Il ne va pas la huer ou la descendre sur les médias sociaux, ou les lignes ouvertes (radio, télé), comme le font un grand nombre de fefans de la CHnoutte. Lorsqu'il portera les couleurs de son club dans les amphithéâtres étrangers, il ne va pas bousculer les gens autour d'eux ou poser des gestes disgracieux ou obscènes. Comme le font les fefans du Caca. Les "meilleurs partisans du monde" à Mourial ? Laissez-moi rire !
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Rappelons les événements qui ont précédé cette triste histoire des émeutes du printemps 2008 dans le bidonville d'Haïti-Nord.
À l'été de 2007, toujours en quête des restants de table des autres équipes, le gérant général du CH Bob "Beggar" Gainey doit donner une fortune au joueur autonome Roman Hamrlik dans l'espoir qu'il pourra relancer sa carrière dans la métropauvre, avant de prendre sa retraite. D'autres marginaux laissés pour compte rejoignent les rangs des CHieux : Bryan Smolinski, Tom Kostopoulos et le "téteux" Patrice Brisebois.
Le gardien recrue Scary Price, le CHouCHou de Gainey, est montée des mineures pour seconder Cristobal Huet. Price prendra d'ailleurs la place du cerbère français lorsque celui-ci se blessera en décembre. Voyant qu'il se débrouille plutôt bien, "Silent" Bob sautera aux conclusions et l'imposera comme joueur de concession à Mourial. Il se débarrassera de Huet en l'expédiant à Washington avant la fin de la période des échanges.
Coup de chance pour la Flanelle frippée. Connaissant une bonne saison à tous les 4 ou 5 ans, ça adonne que Alex Kovalev (no 27 photographié ci-dessus avec Huet) est justement en état de grâce en 2007-08. Ça lui tente de jouer pour la première fois depuis longtemps et il enfile 35 buts (84 points) pour conduire le torCHon vers le sommet du classement de la Conférence de l'Est.
Lors du dernier match du calendrier régulier, les Penguins de Pittsburgh ont l'opportunité de devancer les Canailliens au premier rang, mais ils choisissent plutôt de donner congé à des joueurs importants, dont leur as Sidney Crosby, pour éviter les risques de blessure, et afin qu'ils soient reposés pour les séries éliminatoires. Ils perdent la game et les Cacad'CHiens finissent premiers.
Les fefans ne portent plus à terre. Ils trépignent en se saoulant de jus de poteaux (bière Molson). Ils ont les masses en l'air et la bave au menton. Plus maniaques que dépressifs, pour la première fois depuis 1993 (dernière Coupe Stanley), ils veulent porter le dieu Gainey en triomphe même s'ils ont pourtant si souvent souhaité qu'il soit congédié, il y a quelques mois à peine...
Maintenant, le lymphatique Bob est un génie et son plan quinquennal, jadis tant décrié, a réussi. À n'en pas douter, la 25e Coupe Stanley du club s'en vient à Mourial d'ici quelques semaines. Comme on a bien fait de retirer le no 23 de Gainey pour l'honorer ! Il le mérite tant depuis qu'il n'est plus le DG pourri de l'année précédente !
Mais ce que les fefans oublient, c'est que même si leurs champions ont terminé en première position, ils n'ont récolté que dix points de plus que les Bruins de Boston, qui se sont contentés du 8e rang, et qui rencontreront les CHieux en première ronde des séries. Peu importe, les fanfarons moronréalaids ne craignent nullement les Bruins puisque leurs favoris les ont battus dans leurs onze derniers affrontements en saison régulière.
Après une première victoire assez facile (4-1) dans la première bataille, les hommes de Claude Julien disputent un très bon match mais s'inclinent 3-2. L'entraîneur des CanaCHiens, Guy Carbonneau, qui ne craint pas de dire ce qu'il pense, reconnaît lors du point de presse d'après-match, que sa troupe est chanceuse d'avoir gagné la partie pour prendre les devants 2-0 dans la série.
Les deux joutes à Boston sont très serrées mais le CHiendent gagne la 4e par le score de 1 à 0 pour s'emparer d'une avance de 3-1 dans le 4 de 7. Les fefans fêtent et gambadent dans les rues en criant que les Bruins sont cuits ! Des défaites de 5-1 et de 5-4 les ramènent brutalement sur terre. Il y aura donc un septième et décisif match dans leur bidonville, et ils ont soudainement la CHienne... Leurs héros CHicolores les rendent fous comme de la marde en blanchissant les Oursons 5-0 pour gagner la série.
Criant comme des demeurés et se comportant comme des dégénérés, ils se répandent dans les rues du centre-ville comme une épidémie de vermine et ravagent tout sur leur passage. Ils sautent comme des babouins sur les autos de police avant de les défoncer, de les renverser et de les incendier. On se croirait mille ans en arrière alors que des bandes de barbares saccageaient l'Europe. Les sauvages vandalisent également les commerces et en profitent pour les piller. Les forces de l'ordre sont débordées et impuissantes, à l'exemple du maire Tremblay.
Grâce au phénomène YouTube, les images des fefans émeutiers font le tour du monde. Les habitants de la planète entière découvrent que les partisans des Habs sont des caves qui font honte à une ville qui "fait dur", et à tout un pays qui condamne pourtant ces folies. Les Anti-Habs savaient ça depuis belle lurette, eux qui sont souvent la cible de menaces et de violence verbale de la part des fefans bipolaires.
Pour la série suivante, contre les Flyers de Philadelphie, la police anti-émeute est déployée en force pour surveiller le troupeau de sauvages qui capotent sur le torCHon. Après une victoire arrachée en prolongation dans le premier match, les CHaudrons CHokent à nouveau et s'écroulent. Ils sont liquidés en perdant les quatre dernières parties de la série. R.J. Umberger et le gardien Martin Biron (photo ci-dessus) jouent un rôle important dans le massacre.
Habitant la région de Québec, les parents de Martin n'en finissent plus de recevoir les félicitations de la population de la capitale pour les avoir débarrassés des CHaudrons et des petits fefanions qui "ornaient" les bazous empoussiérés des fefans. Comble de l'idiotie, plusieurs de ces fêlés de la caboche ont prétendu que les Habs avaient volontairement perdu pour éviter une autre émeute ! Oh Boy ! Fallait vraiment que ça chauffe sous le capot !